Watson, bon sang ! Comment êtes-vous arrivé en Afghanistan ? Votre maigreur fait peur ! Votre parfum de rose est fané…
Critique :
Fichtre ! Tant de talent gâché ! Un si bon dessinateur au service d'une cause douteuse. Ce scénario a bien du mal à s'intégrer dans l'univers de Sherlock Holmes, trouvai-je ! Watson, qui devrait avoir une quarantaine d'années, est toujours aussi vieux (il n'a pas rajeuni depuis le premier tome et il est toujours aussi drogué, à moins qu'il ne soit schizophrène). Tout s'explique à la fin du 2e tome… Mouais… Tout ça pour ça… Mettre Watson en vedette après la disparition d'Holmes, l'idée me paraissait séduisante…
Encore un « détail » : si vous lisez le livre, comparez la couverture avec le contenu… Il y a comme une fausse note… L'illustrateur qui l'a réalisée n'a pas dû être mis au parfum par le scénariste ou alors il ne comprend pas le français, le brave Grzegorz Krysiñski (non ! non ! je n'ai pas inventé son nom).
On peut se demander pourquoi les Editions Soleil n'ont pas conservé le même illustrateur que pour la première couverture. Pour la mise en couleur, changement d'artiste :
Axel Gonzalbo a remplacé
Véronique Daviet… Cela manque un peu de cohérence et d'unité, non ? Heureusement que les dessins sont encore de
Darko Perovic.
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