Quand, après observation minutieuse, on a la quasi-certitude d'avoir agi logiquement, d'avoir su se faire comprendre et ne n'avoir pas involontairement enfreint les lois de la mécanique [...], alors, au lieu de châtier, il faut remettre le cheval en confiance, le décontracter et essayer à nouveau de se faire obéir.
Une maîtrise de soi absolue, une patience à toute épreuve, la fermeté alliée à la douceur, une observation soutenue, un jugement sûr, une position impeccable
Il ne dompte pas le cheval, il fait de la leçon un exercice salutaire, un feu instructif qui n'amène jamais la fatigue.