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Critique de FAUVEL
Le Cri ayant été une superbe lecture, c'est avec beaucoup d'enthousiasme que j'ai commencé la lecture de Complot. On prend plaisir à retrouver Sarah et Christopher dans ce nouveau roman. Les premières pages donnent directement le ton : un héico vient chercher Sarah sur une île perdue en Norvège pour l'emmener à l'extrême nord de la Norvège pour résoudre un meurtre pas banal : celui de la première ministre norvégienne. Mais celle-ci semble avoir tout fait pour cacher l'identité de son assassin.
Le début de roman est une succession d'interrogations qui nous poussent à poursuivre la lecture à un rythme soutenu.
Fidèle à lui-même, Nicolas Beuglet a encore une fois offert une documentation très importante à son récit. Nous ne sommes pas que spectateur, nous apprenons à travers ses romans. le travail de documentation est considérable et rend d'autant plus interressant ce roman.
Comme dans le Cri, on navigue toujours entre réalisme et fiction car, parfois, les scènes paraissent peu crédibles ou un peu tirées par les cheveux. Une seule inspectrice et un journaliste contre un complot de cette envergure, qui inclus le ministre de l'intérieur norvégien, semblent un peu léger. La détermination sans faille des membres impliqués dans le complot est également surprenante : si les révélations sont certes de taille, il ne s'agit que de révélations historiques, et on a peine parfois à comprendre la détermination de ces hommes.
Mais sinon, la lecture est très fluide et prenante. L'écriture de Nicolas Beuglet est toujours aussi cinématographique. Et le caractère très féministe du roman est très bien mis en avant.
Le début de roman est une succession d'interrogations qui nous poussent à poursuivre la lecture à un rythme soutenu.
Fidèle à lui-même, Nicolas Beuglet a encore une fois offert une documentation très importante à son récit. Nous ne sommes pas que spectateur, nous apprenons à travers ses romans. le travail de documentation est considérable et rend d'autant plus interressant ce roman.
Comme dans le Cri, on navigue toujours entre réalisme et fiction car, parfois, les scènes paraissent peu crédibles ou un peu tirées par les cheveux. Une seule inspectrice et un journaliste contre un complot de cette envergure, qui inclus le ministre de l'intérieur norvégien, semblent un peu léger. La détermination sans faille des membres impliqués dans le complot est également surprenante : si les révélations sont certes de taille, il ne s'agit que de révélations historiques, et on a peine parfois à comprendre la détermination de ces hommes.
Mais sinon, la lecture est très fluide et prenante. L'écriture de Nicolas Beuglet est toujours aussi cinématographique. Et le caractère très féministe du roman est très bien mis en avant.
