Citations sur B.O.S.S. : Beau, Odieux, Sexy, Snob (6)
J'avais préparé un long discours, mais à genoux devant elle, j'oublie tout. Sauf une chose: c'est avec elle que j'ai envie de passer le restant de ma vie.
- Veux-tu devenir madame Perkins ?
- Mille fois oui!
— C’est délicieux, June.
Gneu gneu gneu !
Quel lèche-cul.
Dès le premier jour ou je t’ai vue dans cet ensemble bleu marine, dans les locaux de Patience, j’ai su que toutes les règles que je m’imposais allaient être mises à rudes épreuves.
- Ta 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒 bêtise, j’espère qu’elle n’est pas grande, brune et arrogante au possible ?
Chapitre 11 :
« … J’ai perdu la totale maîtrise de moi-même : j’ai les jambes qui menacent de s’effondrer, ma poitrine se soulève irrégulièrement tandis que mon cœur martèle mon thorax.
Reste de marbre, Aprile.
— Est-ce un fantasme que de vous faire prendre ici ?
Je hoquette de surprise sous l’audace de sa question.
— Je crains de ne pas vous suivre, monsieur. Êtes-vous réellement en train de parler sexualité avec l’une de vos employées ?
Il me défie du regard et j’ai du mal à soutenir le mien, parce que c’est exactement ce qu’il est en train de faire.
— Il me semblait pourtant que vous ne me considériez plus vraiment comme votre patron, lorsque vous rêviez de mes supposées prouesses avec votre collègue. Lors de vos innombrables pauses-café.
La voilà, notre confrontation officielle sur ce poisson d’avril que j’aurais aimé ne jamais faire...»
Chapitre 5 :
« … Intérieurement, j’ai envie de me dire qu’il déconne, sauf que je sais qu’il n’y a aucun souci technique. Non, par contre je n’ose pas du tout tourner la tête en direction du bureau de M. Perkins, parce qu’il va être là, le souci.
Putain. De. Merde.
La main tremblante, j’attrape le combiné et le porte à mon oreille, priant tous les dieux de l’Univers pour un miracle.
— J’étais loin d’imaginer que, lorsque vous ne faisiez pas semblant de travailler, vous rêviez de mes mains sur votre corps, mademoiselle Barnett.
La voix n’est pas glaciale, pas dédaigneuse, mais elle est rauque et sourde. Comme si le téléphone calfeutrait le son réel.
Prise de panique, j’ai pour seul réflexe de raccrocher.
C’est la merde. Putain de karma.»