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Critique de Floccus
Le monde de l'enfance, entre rêveries et réalité se déploie sous diverses formes graphiques et textuelles. Des bouts de bande dessinée côtoient jeux, collages, vrais poèmes et faux articles d'encyclopédie. Il fallait oser citer Dante dans un livre destiné à la jeunesse. de fait il s'intègre très bien dans le contexte. Guillaume Bianco a ôté ses lunettes pour entrer de plain-pied dans le royaume de la trouble vue et nous restituer les visions qui lui sont apparues. Monstres et angoisses se planquent dans les coins. La cryptozoologie s'attache à définir ce qu'est une fille. Un soupçon de cruauté saupoudré à juste dose épice les histoires. Un beau travail, un univers à part entière.
