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Critique de Belykhalil
Quel plaisir de retrouver l'univers de Guillaume Bianco à travers le personnage de Billy Brouillard. Cette nouvelle saga s'annonce plus mâture et plus actuelle avec de nouveaux thèmes à aborder tel que celui du divorce. Mais rassurez-vous, quoique les disputes de ses parents le tracasse, Billy n'hésite pas une seule seconde à partir à l'assaut du monde de la nuit.
Il y retrouve pour notre plus grand bonheur les camarades surnaturels rencontrés dans les tomes de la première trilogie ainsi que de nouveaux venus. Les pages se tournent toujours avec la même ardeur, le même petit sourire plaqué sur le visage devant son imagination débordante. D'ailleurs pour ne pas nous laisser en reste, l'éditeur a intégré à son album, une loupe de trouble-vue. Un peu d'entraînement et une bonne luminosité sont de mise pour maîtriser l'objet qui se révèle plutôt amusant et qui ravira sans nul doute les plus jeunes.
La forme et le fond sont intacts et la construction du récit est telle que ce tome peut se lire indépendamment de la première trilogie. Ce serait tout de même dommage de s'en priver, mais il faut bien commencer quelque part.
Je suis tout de même un peu ennuyée par la police choisie qui n'est pas forcément évidente à lire par les lecteurs les moins assidus et par une petite « coquille » page 3 qu'il faudra signaler au rédacteur en chef de la Hulotte : une plante est vénéneuse et un serpent est venimeux cher Monsieur Harry Price. 😉
Lien : https://belykhalilcriticizes..
Il y retrouve pour notre plus grand bonheur les camarades surnaturels rencontrés dans les tomes de la première trilogie ainsi que de nouveaux venus. Les pages se tournent toujours avec la même ardeur, le même petit sourire plaqué sur le visage devant son imagination débordante. D'ailleurs pour ne pas nous laisser en reste, l'éditeur a intégré à son album, une loupe de trouble-vue. Un peu d'entraînement et une bonne luminosité sont de mise pour maîtriser l'objet qui se révèle plutôt amusant et qui ravira sans nul doute les plus jeunes.
La forme et le fond sont intacts et la construction du récit est telle que ce tome peut se lire indépendamment de la première trilogie. Ce serait tout de même dommage de s'en priver, mais il faut bien commencer quelque part.
Je suis tout de même un peu ennuyée par la police choisie qui n'est pas forcément évidente à lire par les lecteurs les moins assidus et par une petite « coquille » page 3 qu'il faudra signaler au rédacteur en chef de la Hulotte : une plante est vénéneuse et un serpent est venimeux cher Monsieur Harry Price. 😉
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