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Critique de RobertLePlana
Nous avons tous des livres qui nous ont touchés profondément et durablement. Ceux où on peut se dire qu'il y a « un avant » et « un après ». C'est ce que « Mon immortel » est pour moi. Je peux affirmer, sans l'ombre d'un doute, qu'aucun livre ne m'a autant marqué que celui-là.
Le roman, en partie autobiographique, aborde le sujet du harcèlement scolaire. Un fléau que beaucoup d'entre nous ont subi et qui continue de faire des ravages chez les enfants et les adolescents.
Le récit est poignant. On s'attache à Mégane, une jeune fille aspirante écrivain qui essaie s'adapter à un nouveau lycée tout en tentant d'éclairer les zones d'ombre de son passé. Un passé que l'on comprend douloureux, voire tragique.
La plume de l'auteur est belle et fluide. Elle nous fait passer de la joie à la révolte au gré des rencontres qu'elle fait, des amitiés qui se tissent ou qui deviennent toxiques.
Et l'écriture ! Ah, l'écriture… cette magicienne.
Durant tout le roman, on est émerveillés par son pouvoir de guérison. Les mots d'Isaac Asimov cités dans le livre résonneront encore longtemps dans ma tête : « J'écris pour la même raison que je respire, parce que si je ne le faisais pas, je mourrais. »
À la fin de l'ouvrage, nous découvrons une lettre de l'auteure à l'ado qu'elle a été. C'est fort et c'est émouvant. Difficile pour moi de relire ce texte sans avoir les yeux embués ! J'en aurais des choses à dire à moi-même jeune 🥹
Tout simplement merci à @melanybigot pour avoir écrit ce roman. Je lui dois beaucoup de choses
Le roman, en partie autobiographique, aborde le sujet du harcèlement scolaire. Un fléau que beaucoup d'entre nous ont subi et qui continue de faire des ravages chez les enfants et les adolescents.
Le récit est poignant. On s'attache à Mégane, une jeune fille aspirante écrivain qui essaie s'adapter à un nouveau lycée tout en tentant d'éclairer les zones d'ombre de son passé. Un passé que l'on comprend douloureux, voire tragique.
La plume de l'auteur est belle et fluide. Elle nous fait passer de la joie à la révolte au gré des rencontres qu'elle fait, des amitiés qui se tissent ou qui deviennent toxiques.
Et l'écriture ! Ah, l'écriture… cette magicienne.
Durant tout le roman, on est émerveillés par son pouvoir de guérison. Les mots d'Isaac Asimov cités dans le livre résonneront encore longtemps dans ma tête : « J'écris pour la même raison que je respire, parce que si je ne le faisais pas, je mourrais. »
À la fin de l'ouvrage, nous découvrons une lettre de l'auteure à l'ado qu'elle a été. C'est fort et c'est émouvant. Difficile pour moi de relire ce texte sans avoir les yeux embués ! J'en aurais des choses à dire à moi-même jeune 🥹
Tout simplement merci à @melanybigot pour avoir écrit ce roman. Je lui dois beaucoup de choses
