On quitte Paris pour Londres et Berlin, tout aussi délabrées et sans espoir que leur consoeur française, en suivant l'étrange Jill aux cheveux bleus, qui apporte une touche d'humanité et de fragilité bienvenue dans ce monde brutal et sale.
Les personnages sont ici un peu plus attachants que dans le premier tome, même si ça ne suffit pas à effacer l'étrangeté glaciale qui plane sur cette bande dessinée.
Une fois de plus, il est difficile de rester de marbre face aux dessins d'
Enki Bilal.
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