Julie Birmant propose ici une
Isadora Duncan emportée par sa soif de vivre, un peu illuminée et capricieuse, obsédée par la gloire et rencontrant le grand monde à la recherche de notoriété.
Malheureusement, peu de danse et d'envolée alors que le dessin de Clément est absolument parfait pour ces représentations.
Une artiste radicale qui tente d'imposer sa vision de la danse, peut-être un peu trop moderne pour l'époque
Lien :
https://www.noid.ch/isadora/ Commenter  J’apprécie         50