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Critique de cats26
C'est une de mes séries de bit-lit favorites, si ce n'est ma préférée car les tomes se suivent mais ne se ressemblent pas et là, contrairement à beaucoup de séries de ce genre que j'ai lues, les vampires, loups-garous et autres métamorphes sont vraiment des espèces autres.
Ils considèrent d'ailleurs les humains comme des proies ou comme des êtres nuisibles à éliminer. C'est encore le cas dans ce tome-ci où le mouvement HAT qui prône la colonisation des terres indigènes et l'extermination des Autres pour que le genre humain s'épanouisse commence à attirer l'attention des êtres qui vivent au fond des terres.
Une fois encore, l'Enclos de Lakeside est en première ligne car c'est à Meg Corbyn que les Aînés posent la question de savoir qui ou quoi conserver de l'espèce humaine.
La relation entre Simon et Meg évolue, loin des romances paranormales habituelles pleines de tension sexuelle. J'ai trouvé cela très rafraîchissant.
De même, le rapport de Meg à son pouvoir est lui aussi très original. Il est aussi addictif que létal pour la Cassandra Sangue.
Comme pour les autres tomes, la tension monte petit à petit, l'intrigue avance lentement, les différents éléments se mettent en place jusqu'au moment paroxysmique dans les 100 dernières pages.
A la fin du roman, les cartes ont été rebattues et on se demande comment les Humains qui demeurent vont désormais vivre.
En résumé, encore un bon moment de lecture garanti avec ce tome, même si je dois avouer que je l'ai moins aimé que les précédents. Comme quoi, on s'habitue à la qualité.
Ils considèrent d'ailleurs les humains comme des proies ou comme des êtres nuisibles à éliminer. C'est encore le cas dans ce tome-ci où le mouvement HAT qui prône la colonisation des terres indigènes et l'extermination des Autres pour que le genre humain s'épanouisse commence à attirer l'attention des êtres qui vivent au fond des terres.
Une fois encore, l'Enclos de Lakeside est en première ligne car c'est à Meg Corbyn que les Aînés posent la question de savoir qui ou quoi conserver de l'espèce humaine.
La relation entre Simon et Meg évolue, loin des romances paranormales habituelles pleines de tension sexuelle. J'ai trouvé cela très rafraîchissant.
De même, le rapport de Meg à son pouvoir est lui aussi très original. Il est aussi addictif que létal pour la Cassandra Sangue.
Comme pour les autres tomes, la tension monte petit à petit, l'intrigue avance lentement, les différents éléments se mettent en place jusqu'au moment paroxysmique dans les 100 dernières pages.
A la fin du roman, les cartes ont été rebattues et on se demande comment les Humains qui demeurent vont désormais vivre.
En résumé, encore un bon moment de lecture garanti avec ce tome, même si je dois avouer que je l'ai moins aimé que les précédents. Comme quoi, on s'habitue à la qualité.
