Le côté polar, même plutôt bien fichu, n'est, on l'aura compris, qu'un prétexte pour
François Bizot d'évoquer son cher Cambodge, en ethnologie. On peine parfois un peu à le suivre dans les arcanes de la religion khmère. Mais l'aventure n'est jamais loin, et l'expédition chez les indigènes rappelle certaines pages de '
La Voie royale' de
Malraux.
Commenter  J’apprécie         10