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Critique de AudeTexier
Je viens de finir un nouveau roman .... Waow ... coup de coeur pour ce roman. L'autrice vous tiens en haleine du début à la fin, il m'a été difficile de poser le roman sur ma table de chevet le soir car il fallait que bien que je dorme un peu
Lorsque j'ai acheté ce roman je ne m'attendais clairement pas à ça.
Une magnifique histoire d'amour qui vous transportera dans de magnifiques paysages de la Martinique, mais sous cette hisoire une ombre au tableau, un sujet de société mis en avant et qui touche tellement de femme de nos jours, les violences conjugales, véritables fléaux.
J'ai aimé traverser cette histoire du point de vu de Azalea et de Kaï.
Le récit est additif, à chaque fin de chapitre on veut vite se retrouver dans la ''peau de l'autre'' pour connaître son ressenti face à se qu'ils viennent de vivre.
Azalea est une femme forte, j'aimerais vraiment que toutes les femmes qui sont touchées par les violences conjugales finissent un jour par trouver le courage de dire STOP et osent se reconstruire. Et qu'elles n'oublient par qu'elles ne sont pas seules (famille, association, ami(e)s). Nous les croyons et elles ne sont responsables de rien.
Lorsque j'ai acheté ce roman je ne m'attendais clairement pas à ça.
Une magnifique histoire d'amour qui vous transportera dans de magnifiques paysages de la Martinique, mais sous cette hisoire une ombre au tableau, un sujet de société mis en avant et qui touche tellement de femme de nos jours, les violences conjugales, véritables fléaux.
J'ai aimé traverser cette histoire du point de vu de Azalea et de Kaï.
Le récit est additif, à chaque fin de chapitre on veut vite se retrouver dans la ''peau de l'autre'' pour connaître son ressenti face à se qu'ils viennent de vivre.
Azalea est une femme forte, j'aimerais vraiment que toutes les femmes qui sont touchées par les violences conjugales finissent un jour par trouver le courage de dire STOP et osent se reconstruire. Et qu'elles n'oublient par qu'elles ne sont pas seules (famille, association, ami(e)s). Nous les croyons et elles ne sont responsables de rien.
