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Critique de Laehb80
Je suis d'autant plus déçue que le résumé m'avait particulièrement plu.
Un tueur en série vise des femmes qui ont fait le choix de ne pas avoir d'enfant et le revendiquent, les mutile, leur grave "maman" sur le front et leur colle un poupon sur le sein.
L'héroïne, Sheila, fait partie des connaissances de la victime, elles étaient amies à la fac et ont construit leur carrière sur " les femmes sans enfant dans la Bible ".
Je pensais lire une enquête intéressante, une traque haletante et un accent mis sur cette pression sociale qu'a sûrement ressenti un jour ou l'autre la femme.
À partir de 18 ans on nous demande si on a un petit ami, ensuite quand nous allions nous marier, quand arrivera notre premier enfant, et le deuxième ? À peine celui-ci né, on demande si le troisième est prévu...
Cette pression existe bien même si pas tout le monde la ressent et je trouvais original de l'aborder dans un polar.
Sauf que les femmes sont présentées d'une drôle de façon. Pour résumer elles sont complètement tarées et névrosées, à la limite de l'extrémisme.
À l'inverse, les femmes ayant enfanté sont des combattantes pro-vie et sont tout autant extrêmes.
Il n'y a pas de liberté de choix ou de vie, c'est soit l'un soit l'autre, peu de nuance et donne une idée bien noire de la société en général, israélienne en particulier.
Le dénouement est vite expédié, les personnages peu crédibles ou antipathiques.
Bref, grosse déception.
Un tueur en série vise des femmes qui ont fait le choix de ne pas avoir d'enfant et le revendiquent, les mutile, leur grave "maman" sur le front et leur colle un poupon sur le sein.
L'héroïne, Sheila, fait partie des connaissances de la victime, elles étaient amies à la fac et ont construit leur carrière sur " les femmes sans enfant dans la Bible ".
Je pensais lire une enquête intéressante, une traque haletante et un accent mis sur cette pression sociale qu'a sûrement ressenti un jour ou l'autre la femme.
À partir de 18 ans on nous demande si on a un petit ami, ensuite quand nous allions nous marier, quand arrivera notre premier enfant, et le deuxième ? À peine celui-ci né, on demande si le troisième est prévu...
Cette pression existe bien même si pas tout le monde la ressent et je trouvais original de l'aborder dans un polar.
Sauf que les femmes sont présentées d'une drôle de façon. Pour résumer elles sont complètement tarées et névrosées, à la limite de l'extrémisme.
À l'inverse, les femmes ayant enfanté sont des combattantes pro-vie et sont tout autant extrêmes.
Il n'y a pas de liberté de choix ou de vie, c'est soit l'un soit l'autre, peu de nuance et donne une idée bien noire de la société en général, israélienne en particulier.
Le dénouement est vite expédié, les personnages peu crédibles ou antipathiques.
Bref, grosse déception.
