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Critique de BurjBabil
A moitié convaincu seulement par cette bande dessinée à vocation de vulgarisation des métiers scientifiques.
Une bonne intention : montrer que les sciences offrent une large palette de possibilités de métiers intéressants, donner envie aux jeunes, lycéens notamment.
Un défaut : trop élitiste, ne concerne que des chercheurs, des ingénieurs d'études, des doctorants... Des parcours moins "pointus" auraient pu avantageusement figurer dans la douzaine de portraits par ailleurs stimulants proposés ici. Réconcilier méca Q et relativité, désolé, mais inutile de faire un appel d'offres, cela ne concernera pas grand monde et ceux-là n'ont pas besoin de lire cette BD, ils sont actuellement en train de lire Heisenberg (ou de le regarder pour les moins Sheldonisés), Roland Lehoucq etc...
Deuxième défaut agaçant de mon point de vue : l'utilisation de l'écriture inclusive, d'un jargon angliche pour bien montrer qu'on est branchouille quand on fait des sciences, de tirades féministes... Etait-ce l'objet de cette invitation à découvrir l'univers de la recherche ou l'auteur associe-t-elle de manière subliminale l'avancée de la connaissance au wokisme? Je n'ai pas aimé. J'ai trouvé ça … gratuit.
Quelques petites coquilles scientifiques comme au début avec l'écriture de CO2 avec le 2 en exposant et non en indice font un peu sourire mais c'est secondaire.
Voilà, malgré tout, il y a des dessins, des schémas plutôt bien faits pour une jeune femme (j'évite le mot auteur que je féminise habituellement mais c'est par esprit de contradiction) dont ce n'est pas la spécialité. Et les univers de recherche sont variés et réellement enthousiasmant pour un scientifique. L'ouvrage mérite de figurer dans un centre de documentation et d'information, il y a sa place.
Une bonne intention : montrer que les sciences offrent une large palette de possibilités de métiers intéressants, donner envie aux jeunes, lycéens notamment.
Un défaut : trop élitiste, ne concerne que des chercheurs, des ingénieurs d'études, des doctorants... Des parcours moins "pointus" auraient pu avantageusement figurer dans la douzaine de portraits par ailleurs stimulants proposés ici. Réconcilier méca Q et relativité, désolé, mais inutile de faire un appel d'offres, cela ne concernera pas grand monde et ceux-là n'ont pas besoin de lire cette BD, ils sont actuellement en train de lire Heisenberg (ou de le regarder pour les moins Sheldonisés), Roland Lehoucq etc...
Deuxième défaut agaçant de mon point de vue : l'utilisation de l'écriture inclusive, d'un jargon angliche pour bien montrer qu'on est branchouille quand on fait des sciences, de tirades féministes... Etait-ce l'objet de cette invitation à découvrir l'univers de la recherche ou l'auteur associe-t-elle de manière subliminale l'avancée de la connaissance au wokisme? Je n'ai pas aimé. J'ai trouvé ça … gratuit.
Quelques petites coquilles scientifiques comme au début avec l'écriture de CO2 avec le 2 en exposant et non en indice font un peu sourire mais c'est secondaire.
Voilà, malgré tout, il y a des dessins, des schémas plutôt bien faits pour une jeune femme (j'évite le mot auteur que je féminise habituellement mais c'est par esprit de contradiction) dont ce n'est pas la spécialité. Et les univers de recherche sont variés et réellement enthousiasmant pour un scientifique. L'ouvrage mérite de figurer dans un centre de documentation et d'information, il y a sa place.
