Elle est une cinéaste libre qui commet ce sacrilège et nous offre ce plaisir de plus en plus menacé : sans rien renoncer des pouvoirs de l’image, faire resplendir dans les salles les vertus de la parole littéraire. Faire le cinéma de la littérature.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.