Rome, une galère. Et puis l'amour, et puis la violence, la mort et l'homme, la femme, l'homme et la femme, et l'homme, et l'homme...
Une histoire épaisse et dérangeante aux airs de nuits crasseuses, que l'on ne peut s'empêcher pourtant de traverser quoi qu'il en coûte.
Elle tient de ces contes sidérant de beauté et qui, encore, vous dépècent malgré vous, révélant au-delà des mots et des époques ce que l'humanité a de plus sale et de bouleversant à la fois.
Blutch est un maître au dessin virtuose et au desseins troubles, mais c'est peu dire que l'on aime ça.
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