Quelle douceur toujours dans les mots de
Robert Bober ! L'émotion n'est jamais loin surtout quand les passages touchent à l'enfance, aux vies meurtries, aux absents. J'aime les détours pris, les évocations littéraires, et qui donnent toujours envie d'être suivis. On connaît bien le lien, et on pense sans surprise, beaucoup, à Perec.
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