Recueil de poèmes ou de réflexions partant du visage pour s'engager vers des diptyques comme le bien, le mal, le rapide le lent allant vers une forme de sacré, d'infini d'ultime.
Le principe intéressant au départ tourne vite en rond pour ne servir qu'au dixième son intention de départ ou ce que j'en décèle, perçoit.
L'intention est louable mais s'étiole et quelque chose se révèle trop simpliste (le contraire de la joie est la folie par exemple il me semble qu'il y a des fous très joyeux...).
A mon sens les diptyques enferment et vont vers une simplification fausse qui, si elle ne manque pas d'intérêt esthétique manque de contenu ou atteint trop vite ses limites.
Commenter  J’apprécie         00