Après
La plus que vive, je n'ai pas trouvé autant de saveur à
L'homme Joie malgré toute la poésie qui le compose et le ressenti si juste de la déchirure, de la longue noyade dans des eaux si profondes qui accompagne les vivants lors de la perte d'un être cher.
Celà ne m'empêchera pas de chercher à découvrir tout le reste de sa production.
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