Avant de lire
Ce pays qu'on appelle vivre, je n'avais jamais entendu parler du
Camp des Milles.
Situé à Aix-en-Provence, c'était un camp français d'internement et de déportation.
C'est au sein du
Camp des Milles qu'Ariane Bois situe l'action de son roman.
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Dessinateur de presse juif allemand, Leo s'est réfugié dans le sud de la France au début de la guerre afin d'échapper aux rafles. Malheureusement il sera arrêté par les gendarmes français et envoyé au
Camp des Milles, où il rencontrera Margot, une bénévole qui tente d'aider les déportés.
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La lumière faite sur cet endroit est édifiante et nécessaire. le roman est d'ailleurs parsemé de personnages ayant réellement existé, un bel hommage.
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J'ai un peu plus de réserves sur l'histoire d'amour née au milieu du malheur, du désespoir et de l'horreur, qui ne m'a pas toujours paru crédible, mais ce fut une lecture instructive et émouvante.
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