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Critique de koalas


Gugusse a fait bonne pêche, il ramène au port de la Rochelle des tonnes de langoustes et aussi un drôle de poisson pris dans ses filets, un homme muet comme une carpe mais bien vivant . Avant d'être identifié par la douane, celui-ci arrive à s'échapper du bateau et file comme une anguille sur la terre ferme. Pas le temps de buller pour le capitaine Georges Sauvin alias le Poisson chinois qui se lance aux trousses du gros poisson...rouge.
Ce petit roman d'espionnage fait mouche ! Jean Bommart m'a tenu en haleine avec son Poisson chinois qui a du panache . Ce personnage créé en 1934 fait de lui l'un des premiers agents secret du roman policier. Pour l'anecdote, Il lui a été inspiré par le Marquis de Lubersac, un agent du deuxième bureau. Mais dans cet opus de 1958, c'est l'homme sans blaze qui occupe la première place et on ne s'ennuie pas une minute à le suivre à la trace...
Il me reste une bonne quinzaine de "Poisson chinois" à dévorer à toutes les sauces. Celui là, je l'ai harponné dans une boite à livres. Pour les autres, j'irai à la pêche...
Le Poisson chinois et l'homme sans nom, c'est une belle touche !
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