« Notre plus grande faiblesse réside dans l’abandon ; la façon la plus sûre de réussir est d’essayer une autre fois. Aucun découragement, car tout nouvel échec constitue un pas de plus vers la victoire. »
« En toute chose, c’est la fin qui est essentielle. »
Aristote
Notre plus grande faiblesse réside dans l’abandon ; la façon la plus sûre de réussir est d’essayer une autre fois. Aucun découragement, car tout nouvel échec constitue un pas de plus vers la victoire.
Je ne peux noter avec les étoiles, donc je précise donner 1 étoile. Voici quelques formulations peu élégantes pour étayer ma critique. "Ils doivent comprendre la postérité de mes gestes" (p. 240) ... "A défaut de l'odeur, je me nourris avec le son que fait celle-ci". "Elle agrafe son regard au mien, ...".
La première personne à avoir cru en mes talents était une vieille marginale, ma grand-mère. Elle pensait être en lien avec les esprits de la nature. Elle s’évertuait à me parler de mes capacités, de cette empathie qui flirtait sauvagement avec la communication par la pensée.
Notre plus grande faiblesse réside dans l’abandon ; la façon la plus sûre de réussir est d’essayer une autre fois. Aucun découragement, car tout nouvel échec constitue un pas de plus vers la victoire.
Son odeur en repousserait plus d’un. Moi, elle m’attire comme la promesse d’un plaisir à venir. Mon dos se colle contre le dossier froid de la chaise, son contact me rassure. La patience est le secret de mon art. Oui, cet art n’est pas donné à tout le monde. Précision, contrôle, intelligence sont les moyens d’assouvir mes pulsions.
Dominer mes pulsions. Révéler et jouir de cette noirceur qui sommeille en moi. Le reflet que me renvoie la vitrine ne trompe pas. Mon esprit est clair malgré tous ces bruits de pas qui résonnent sur les vieux pavés de Carnaby Street. Mon but ? Fondre sur ma proie. Je la sens, elle est proche.
Observer. Écouter. Sentir. Toutes ces personnes autour de moi se fraient un chemin pour rentrer chez elles ou aller au pub pour un afterwork . Histoire de partager, voire peut-être relever leurs quotients intellectuels. Une perte de temps, ils sont trop bêtes pour se l’avouer. De brefs contacts se font avec ces inconnus, une veste, un sac. Le désir monte en moi. Je déambule au milieu de ces âmes en prenant conscience que la pratique de mon art demande de la maîtrise. Il suffit d’une inspiration profonde et je dompte la rage d’un coup.