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Critique de Clochette44
L'histoire :
Au printemps, Claire Hermin s'installe avec son fils Frédéric à Laville-Saint-Jour en Bourgogne. Dans cette tranquille bourgade, elle espère oublier la sinistre affaire qui l'a obligée à fuir Paris. Puis arrive l'automne, et avec lui la brume. Et dans la brume, tout est possible: qui peut vous voir? Qui devine ce qui se trame dans l'ombre? A l'abri du brouillard, la peur rode. Les assassins aussi. Et quand tombe la brume, deux enfants disparaissent. On retrouve leurs corps mutilés dans des mises en scène de cauchemar. Pour Claire, c'est une répétition du drame qu'elle a déjà vécu. Lui a-t-on tendu un macabre traquenard? Qui orchestre ces crimes dans le brouillard? Que cachent ces façades bourgeoises et ces notables tout-puissants? Et pourquoi s'en prend-on ainsi aux enfants? Claire plonge à la recherche de la vérité. Au coeur de la brume, un assassin aiguise ses griffes.
Mon avis :
1er roman de Laurent Botti : Un polar sur le thème des sectes sataniques (décidément en ce moment, je suis en plein dedans !) mais qui ne va pas rester dans mes annales.
J'ai trouvé l'histoire un peu irréaliste : des meurtres d'enfants orchestrés de manière atroces et qu'on laisse pourtant faire, un policier hanté par un drame familial et pourtant auquel j'ai eu du mal à m'attacher. Il cherche les assassins de ces enfants avec des pistes qui semblent lui tomber du ciel, l'histoire d'amour entre l'avocate et le policier.... Pffff. Une ville aux mains d'une seule femme complètement "barrée", une maîtresse d'école aux moeurs sexuelles complètement masochistes... Enfin, plusieurs incohérences et maladresses qui m'ont tenu écartée de l'histoire. Peut-être du fait que c'était son premier roman
Alors, ce qui m'a le plus remué, c'est peut-être effectivement cette ambiance un brin angoissante du fait d'une ville enfouie sous la brume, controlée par une femme folle avec la complicité des habitants et qui perpétuent des meurtres d'enfants au nom du mal. Je pense que les meurtres d'enfants, ça m'a pas mal gênée, voire désintéressée au lieu de me tenir en haleine.
Au printemps, Claire Hermin s'installe avec son fils Frédéric à Laville-Saint-Jour en Bourgogne. Dans cette tranquille bourgade, elle espère oublier la sinistre affaire qui l'a obligée à fuir Paris. Puis arrive l'automne, et avec lui la brume. Et dans la brume, tout est possible: qui peut vous voir? Qui devine ce qui se trame dans l'ombre? A l'abri du brouillard, la peur rode. Les assassins aussi. Et quand tombe la brume, deux enfants disparaissent. On retrouve leurs corps mutilés dans des mises en scène de cauchemar. Pour Claire, c'est une répétition du drame qu'elle a déjà vécu. Lui a-t-on tendu un macabre traquenard? Qui orchestre ces crimes dans le brouillard? Que cachent ces façades bourgeoises et ces notables tout-puissants? Et pourquoi s'en prend-on ainsi aux enfants? Claire plonge à la recherche de la vérité. Au coeur de la brume, un assassin aiguise ses griffes.
Mon avis :
1er roman de Laurent Botti : Un polar sur le thème des sectes sataniques (décidément en ce moment, je suis en plein dedans !) mais qui ne va pas rester dans mes annales.
J'ai trouvé l'histoire un peu irréaliste : des meurtres d'enfants orchestrés de manière atroces et qu'on laisse pourtant faire, un policier hanté par un drame familial et pourtant auquel j'ai eu du mal à m'attacher. Il cherche les assassins de ces enfants avec des pistes qui semblent lui tomber du ciel, l'histoire d'amour entre l'avocate et le policier.... Pffff. Une ville aux mains d'une seule femme complètement "barrée", une maîtresse d'école aux moeurs sexuelles complètement masochistes... Enfin, plusieurs incohérences et maladresses qui m'ont tenu écartée de l'histoire. Peut-être du fait que c'était son premier roman
Alors, ce qui m'a le plus remué, c'est peut-être effectivement cette ambiance un brin angoissante du fait d'une ville enfouie sous la brume, controlée par une femme folle avec la complicité des habitants et qui perpétuent des meurtres d'enfants au nom du mal. Je pense que les meurtres d'enfants, ça m'a pas mal gênée, voire désintéressée au lieu de me tenir en haleine.
