Sans doute l'écriture est-elle belle, lourde, puissante.
Mais ce qui m'est raconté ne m'a jamais ému, parfois un peu rire, jamais appris quoique ce soit. Il s'empêche de développer le caractère de l'autochtone qui à la fin rejoint la vie quotidienne du prélat : dommage.
Nul doute que l'auteur éprouve une satisfaction certaine a décrire l'horreur de cette contrée et des habitudes quotidiennes des habitants ; pourquoi ? C'est à lui d'y répondre.
Un livre hors sol, loin de nos préoccupation contemporaines.
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