Il vaut mieux moins rêver en couleur et plus se réaliser en noir et blanc.
Les gens qui disent «faudrait ben» sont dans le rêve. Faudrait ben que je maigrisse, faudrait ben que je fasse plus d’exercice, faudrait ben que je règle cette vieille chicane, faudrait ben que je change de job, faudrait ben que je divorce…
La vie est composée d’une multitude de manèges à bord desquels nous choisissons ou non de monter. Combien de fois laissons-nous la peur l’emporter sur ce qui bouillonne instinctivement en nous? Combien de fois on se refuse une occasion de changement favorable parce que la peur nous mène… et nous ramène à nos vieilles pantoufles confortables? OSER: que c’est épeurant, ça!
Il n’y a pas d’ascenseur vers le succès…Il faut prendre l’escalier!
Que c’est difficile de rompre à l’amiable. J’aimerais penser que je suis irremplaçable, mais c’est une utopie. Nous sommes tous remplaçables. Cela ne me rend pas aigrie du tout, c’est une grande vérité. Je sais même qui va me succéder et je lui envoie plein de belles pensées.
Ce n’est pas une vie, se priver de sorties. Vous êtes assez en forme pour marcher, alors marchez! Marchez pour faire vos commissions, marchez pour aller travailler, marchez pour marcher! Marchez dignement, en étant fière de ce que vous êtes: une personne à part entière.
Le meilleur moment pour prendre du temps pour soi, c’est souvent quand on répète à tous qu’on n’a plus le temps.
Se fixer des objectifs réalistes, c’est aussi ça, être sa meilleure amie. Quand je dis réalistes, il faut quand même y mettre les efforts. Les efforts ne suffisent cependant pas. Il y a aussi le temps. LE TEMPS. Il peut être votre pire ennemi, ou votre meilleur ami. Ça dépend de ce que vous en faites. Il peut être votre pire ennemi si vous courez constamment contre lui, si vous avez une date collée en tête pour vous réaliser pleinement.
Les gens qui disent «faudrait ben» sont dans le rêve. Faudrait ben que je maigrisse, faudrait ben que je fasse plus d’exercice, faudrait ben que je règle cette vieille chicane, faudrait ben que je change de job, faudrait ben que je divorce…
Nous avons tous, au fond de nous, une rivière naturelle qui coule. Avec le temps, il arrive qu’une foule de facteurs extérieurs nous fassent bifurquer de ce courant naturel bien imprégné en soi. Nos peurs sont souvent responsables de ce changement de cap, un tremplin vers le meilleur de nous-mêmes. La crainte de ce que les autres vont penser aussi.