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Critique de Radwan74
Adaptation de l'ouvrage d'Allain Bougrain-Dubourg, cette BD donne la parole aux animaux pour exprimer leur désarroi, leur souffrance, leur peur mais aussi leur espérance d'une vie meilleure si l'homme était plus « humain » envers eux.
La parole est donc donné au loup qui est injustement traité de tueur de brebis, au tigre qui est enfermé dans des cages alors qu'il a besoin de liberté, au poussin qui va être sacrifié car c'est un mâle « improductif », au blaireau massacré, au taureau élevé pour être tué de façon sordide, à la tortue qui mangera nos déchets plastiques, au requin qui agonisera dans la mer après avoir vu ses ailerons tranchés…
C'est terrible de voir les animaux être tant malmenés, tant massacrés et dont on oublie la souffrance.
Mais on peut agir pour diminuer (et peut être arrêter un jour) la souffrance animale, par nos actes de consommateur ou pour agir dans l'opinion publique.
J'avoue bien évidemment que je participe à cette cruauté par mes choix alimentaires mais il y a temps d'exemples dans ce livre où on peut agir facilement : nettoyer la nature des plastiques qui la souille, ne pas aller dans des cirques qui possèdent des animaux, militer contre la chasse des « nuisibles », ne pas utiliser de produits chimiques dans son jardin…
Le livre se termine d'ailleurs par des informations sur le travail des associations de protection de la nature (la LPO en l'occurrence ici), sur la protection des oiseaux en étant un propriétaire de chat responsable, sur les actions à tenir si on trouve un animal sauvage blessé ou encore sur les métiers de la protection de la nature.
La parole est donc donné au loup qui est injustement traité de tueur de brebis, au tigre qui est enfermé dans des cages alors qu'il a besoin de liberté, au poussin qui va être sacrifié car c'est un mâle « improductif », au blaireau massacré, au taureau élevé pour être tué de façon sordide, à la tortue qui mangera nos déchets plastiques, au requin qui agonisera dans la mer après avoir vu ses ailerons tranchés…
C'est terrible de voir les animaux être tant malmenés, tant massacrés et dont on oublie la souffrance.
Mais on peut agir pour diminuer (et peut être arrêter un jour) la souffrance animale, par nos actes de consommateur ou pour agir dans l'opinion publique.
J'avoue bien évidemment que je participe à cette cruauté par mes choix alimentaires mais il y a temps d'exemples dans ce livre où on peut agir facilement : nettoyer la nature des plastiques qui la souille, ne pas aller dans des cirques qui possèdent des animaux, militer contre la chasse des « nuisibles », ne pas utiliser de produits chimiques dans son jardin…
Le livre se termine d'ailleurs par des informations sur le travail des associations de protection de la nature (la LPO en l'occurrence ici), sur la protection des oiseaux en étant un propriétaire de chat responsable, sur les actions à tenir si on trouve un animal sauvage blessé ou encore sur les métiers de la protection de la nature.
