Je suis quelqu'un de visuel, alors quand chez mon beau frère je tombe sur un livre avec une tête de mort, intitulé
psycho killer, evidemment, je demande à l'emprunter.
Parfois on peut juger un livre par sa couverture: la découverte de folie!
C'est bourrée de références cinématographiques variées (c'est dit das le résumé, les films les plus terrifiants, dont dirty dancing!), d'humour noir, de sexe cru, de maltraitance qui devient anodine, un brin de psychologie à l'esprit criminel, de complot d'état, de détournement de fonds, d'opérations secrètes.
La totale. Ça vous parait trop? Jamais. Ou plutôt. C'est ça qui est bon! c'est bien mené, facile à lire, intriguant (Mais qui est-elle?).
On a aussi un peu les poils qui se hérissent devant le comportement des "villageois". Mais pas longtemps, c'est dans le ton.
On est tellement pris dans l'exagération de l'auteur que l'abus de pouvoir musclé des agents nous semble normal, et tout nous devient normal, on devient des
psycho killers nous aussi, on adoooore le déchainement de violence, le tout sur fond musical plus ou moins approprié.
Alors oui, après, il nous manque des détails, les pourquoi, mais qu'est-ce qu'on s'en fout, on a adoré.