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Critique de Caro29


Huitième opus de la saga du Bourbon Kid et, toujours fidèle au poste, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman de mon auteur anonyme préféré. Comme d'habitude.

Ce huitième tome, Que le diable l'emporte, met en scène des personnages rencontrées dans les précédents opus. On y retrouve le gang des Dead Hunters (Rodeo Rex, Elvis, Jasmine, Flake et l'incorrigible Sanchez), Scratch le diable, Beth, la dame mystique et l'un de mes anti-héros préférés, le Bourbon Kid. L'auteur anonyme ne change pas de registre : il reste dans le « pipi-caca » et dans le sanguinolent, ainsi que dans les courses-poursuites et les fusillades. Ça pourrait lasser après sept romans mais l'humour noir de l'auteur et l'attachement à certains personnages m'ont permis de beaucoup apprécier ce roman. Par ailleurs, il y a toujours quelques révélations qui nous donnent quelques informations très précieuses sur le personnage du Bourbon Kid, fameux tueur en série aussi fascinant et attachant que redoutable et effrayant. Et puis, au milieu de tout ça, il y a les « méchants », ceux qui vont donner du fil à retordre au héros : Dracula (oui, le vrai), des ninjas au service de Scratch et des nonnes cracheuses de flammes sans visage. On assiste aussi au retour du sosie de Janis Joplin, rencontrée lors du troisième opus, le Cimetière du diable, qui est atteinte du syndrome Gilles de la Tourette. Ça fait beaucoup et c'est vrai qu'en 525 pages, il n'y a aucun temps mort et le rythme est vraiment très soutenu. Franchement, c'est sûr que ce n'est plus pareil que les deux premiers tomes, le Livre sans nom et L'Oeil de la lune, que j'avais franchement adorés, mais le plaisir est toujours présent.

Huitième opus donc et toujours fidèle au poste. Evidemment, je le serai encore pour le neuvième opus, Santa Mondega, que j'ai déjà hâte de lire, et pour le(s) suivant(s) (peut-être…).
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