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Critique de helenew_fr
J'ai été enchantée par « En attendant Bojangles » d' Olivier Bourdeaut, un livre que j'ai découvert en allant au salon du livre, où il faisait le buzz.
Premières impressions avant lecture : j'ai été séduite par la couverture un peu BD, un pop art du couple dansant, j'ai été intriguée par le titre qui m'a menée dare-dare à googliser les paroles de Mr Bojangles. Au salon, j'ai assisté aussi à l'entretien croisé de trois auteurs dont les premiers romans, celui-ci inclus, avaient été remarqués. Olivier Bourdeaut était à l'aise dans ses réponses et semblait épanoui, sans doute heureux du succès de ce livre déjà amplement primé.
L'attente était donc grande et je n'ai pas été déçue. J'ai parcouru ce roman rapidement, d'abord parce qu'il est court, et surtout parce que je l'ai aimé. J'y ai trouvé la fraîcheur et la candeur d'un petit Nicolas, la tendresse d'une histoire d'amour pas compliquée - celle d'un enfant pas pour ses parents, et le jeu du clair-obscur de la magie opérée par des parents drôlatiques et fantasques et la face sombre de la maman extraordinaire.
J'ai beaucoup aimé aussi la description des différents lieux de l'action, notamment le château en Espagne, et l'appartement familial. J'ai bien aimé aussi la touche légère apportée aux portraits des différents protagonistes, j'ai eu l'impression de croquis, voire de caricatures, qui « saisissent » bien le personnage plutôt que de classiques portraits.
Pour moi, les événements et situations sont un peu secondaires à l'alchimie du livre qui joue de la frontière entre l'imaginaire d'un enfant et de la dure réalité, ce qui est « raisonnable » et ce qui ne l'est pas, le rire et les pleurs. de fait, on pourrait dévoiler l'histoire sans vraiment gâcher le plaisir de lecture mais je m'en abstiendrai bien sûr.
Ce roman n'est pas d'une grande profondeur mais qu'il est agréable de savourer une lecture qui fait du bien dans une veine originale.
Lien : https://helenewilkinsonbookr..
Premières impressions avant lecture : j'ai été séduite par la couverture un peu BD, un pop art du couple dansant, j'ai été intriguée par le titre qui m'a menée dare-dare à googliser les paroles de Mr Bojangles. Au salon, j'ai assisté aussi à l'entretien croisé de trois auteurs dont les premiers romans, celui-ci inclus, avaient été remarqués. Olivier Bourdeaut était à l'aise dans ses réponses et semblait épanoui, sans doute heureux du succès de ce livre déjà amplement primé.
L'attente était donc grande et je n'ai pas été déçue. J'ai parcouru ce roman rapidement, d'abord parce qu'il est court, et surtout parce que je l'ai aimé. J'y ai trouvé la fraîcheur et la candeur d'un petit Nicolas, la tendresse d'une histoire d'amour pas compliquée - celle d'un enfant pas pour ses parents, et le jeu du clair-obscur de la magie opérée par des parents drôlatiques et fantasques et la face sombre de la maman extraordinaire.
J'ai beaucoup aimé aussi la description des différents lieux de l'action, notamment le château en Espagne, et l'appartement familial. J'ai bien aimé aussi la touche légère apportée aux portraits des différents protagonistes, j'ai eu l'impression de croquis, voire de caricatures, qui « saisissent » bien le personnage plutôt que de classiques portraits.
Pour moi, les événements et situations sont un peu secondaires à l'alchimie du livre qui joue de la frontière entre l'imaginaire d'un enfant et de la dure réalité, ce qui est « raisonnable » et ce qui ne l'est pas, le rire et les pleurs. de fait, on pourrait dévoiler l'histoire sans vraiment gâcher le plaisir de lecture mais je m'en abstiendrai bien sûr.
Ce roman n'est pas d'une grande profondeur mais qu'il est agréable de savourer une lecture qui fait du bien dans une veine originale.
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