Si comme le dit le dicton : il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, j'ajouterai que concernant le massacre de Sabra et Chatila, il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.
À la place de ce photographe et de ce journaliste sur place, j'aurais eu la rage face à un ballet de pays dont les dirigeants nient, ignorent ou ne daignent reconnaître qu'une partie de la vérité.
Formidable ouvrage clair, concis.
Merci Messieurs.
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