AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de verobleue


Assassin's Creed, tome 1 : Renaissance d'Olivier Bowden, est la transposition du jeu vidéo au succès mondial en roman. Personnellement, je me suis lancée dans cette lecture sans rien savoir ni du jeu ni de l'histoire

Le livre retrace le parcours dans la Renaissance italienne d'Ezio Auditore da Firenze, 17 ans, fils d'un banquier florentin. Toute la famille d'Ezio est victime d'un complot. Son père et ses deux frères se font arrêter sans qu'il comprenne pourquoi et sont pendus en place publique. Ezio finit par apprendre que son père faisait partie de la guilde des Assassins, qui se bat contre l'ordre des Templiers depuis des siècles pour obtenir le contrôle des principales cités italiennes. Pour assouvir sa vengeance, Ezio va embrasser la cause des Assassins et combattre les Templiers .

C'est un roman où la part historique prend le dessus sur la fantasy. Celle-ci repose sur des aspects apparaissant tout au long de l'oeuvre à la manière typique d'un jeu vidéo : une liste de gens à abattre, la découverte d'une page du Codex à chaque assassinat, page qui permet de passer à une quête plus importante,... en fait un scénario proche des jeux de rôles, mais qui s'intègre bien au récit.

Au fur et à mesure de la lecture, cela devient plus fluide et plus agréable, le style est plus addictif avec une dynamique excellente, toute en action et rebondissements, de la romance et de l'humour. J'ai pris plaisir à voyager avec Ezio entre la Toscane et la Vénétie, à rencontrer ses amis dont l'illustre Léonardo Da Vinci, des personnages historiques comme Laurent de Médicis, Machiavel. Tous ces personnages ajoutent du réalisme au récit. Certains termes ont été gardés en italien ce qui facilite l'immersion du lecteur. le livre se termine vers les 35/40 ans d'Ezio.

Finalement, Assassin's Creed s'avère être une assez bonne découverte, j'ai aimé ce mélange de fiction et de réalité historique.

Commenter  J’apprécie          90



Ont apprécié cette critique (9)voir plus




{* *}