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Critique de MARVILLE
« Assassin's Creed Unity » est un livre qui étoffe le scénario du jeu du même nom. Je ne suis pas joueuse et ne peut donc évaluer que la partie livre sans savoir si elle colle bien au jeu.
J'ai bien aimé le lieu de l'intrigue et cette manipulation de la « grande histoire » de la révolution française pour la faire correspondre à cette rivalité entre les assassins et les templiers.
Toute la première partie avec l'enfance d'Elise était intéressante même si j'ai galéré au début avec les nombreuses remontées dans le temps et retours en arrière.
Enfin Elise grandit et avec son tempérament frondeur, elle commence à devenir réellement actrice de son existence. J'ai trouvé par contre les interventions d'Arno assez timides dans l'ensemble, on ne concentre vraiment sur l'existence d'Elise et certaines péripéties entre eux, racontées peut-être ailleurs, sont seulement citées. Dommage.
J'ai trouvé également que les descriptions étaient réduites au minimum, ce qui est pour moi plutôt un point positif (les longues descriptions m'ennuient), mais ici c'est parfois au point qu'on visualise assez mal les actions et qu'on se retrouve perdu, obligé de relire la phrase précédente pour comprendre vraiment ce qu'il se passe et deviner ce qui n'a pas été dit. La fin apporte son lot de surprises avec toutes les trahisons, et retournements de situations jusqu'à quasiment la dernière ligne.
Une lecture sympathique mais qui n'aura pas été transcendante. Cela reste un scénario de jeu qui manque d'un peu de finesse littéraire à mon goût.
J'ai bien aimé le lieu de l'intrigue et cette manipulation de la « grande histoire » de la révolution française pour la faire correspondre à cette rivalité entre les assassins et les templiers.
Toute la première partie avec l'enfance d'Elise était intéressante même si j'ai galéré au début avec les nombreuses remontées dans le temps et retours en arrière.
Enfin Elise grandit et avec son tempérament frondeur, elle commence à devenir réellement actrice de son existence. J'ai trouvé par contre les interventions d'Arno assez timides dans l'ensemble, on ne concentre vraiment sur l'existence d'Elise et certaines péripéties entre eux, racontées peut-être ailleurs, sont seulement citées. Dommage.
J'ai trouvé également que les descriptions étaient réduites au minimum, ce qui est pour moi plutôt un point positif (les longues descriptions m'ennuient), mais ici c'est parfois au point qu'on visualise assez mal les actions et qu'on se retrouve perdu, obligé de relire la phrase précédente pour comprendre vraiment ce qu'il se passe et deviner ce qui n'a pas été dit. La fin apporte son lot de surprises avec toutes les trahisons, et retournements de situations jusqu'à quasiment la dernière ligne.
Une lecture sympathique mais qui n'aura pas été transcendante. Cela reste un scénario de jeu qui manque d'un peu de finesse littéraire à mon goût.
