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Critique de Pikachu
Young Samuraï est une « saga » en trois tomes écrite par Chris Bradford. Elle commence par La voie du guerrier, puis vient La voie du sabre, et enfin La voie du dragon. On y suit les aventures de Jack Fletcher, jeune marin de 12 ans. Marin ? Plutôt futur samouraï !
Sauvé et recueilli par le célèbre samouraï Masamoto Takeshi, Jack va devoir s'immerger complètement dans la culture japonaise. Pour cela, il va d'abord commencer par apprendre le japonais car, comme lui enseigne le père Lucius : « Comprends le japonais et tu les comprendras eux ».
Le jeune homme se trouve confronté au fils de Masamoto-sama (« maître Masamoto »), Yamato. Celui-ci n'apprécie pas que sont père considère ce gaijin (« étranger ») comme son deuxième fils (il prend la place de Tenno, son aîné assassiné par Dokugan Ryu). Il va cependant lui apprendre malgré lui l'art du bokken (sabre de bois).
Après avoir prouvé sa bravoure lors de l'attaque de la demeure de Masamoto en sauvant Yamoto, Jack est remercié par le grand guerrier. Il va entrer à l'école des samouraïs avec Yamato et Akika, nièce de Masamoto. Il va y suivre des cours pour acquérir le bushido, la voie du guerrier. Cependant, rien ne sera facile pour lui car beaucoup le considèrent comme un gaijin, donc indigne d'être guerrier japonais…
Même si on est happé par les différents événements, on sent qu'il y a une histoire de fond. le lecteur (en tout cas moi) se demande qui a bien pu donner l'ordre à Dokugan Ryu (Oeil de dragon) de récupérer le routier (la carte) du père de Jack et pourquoi. La réponse n'est pas donnée dans ce premier volet… La suite s'annonce palpitante maintenant que Jack possède les connaissances de base !
Au-delà d'une simple histoire d'un pauvre orphelin qui reprend du poil de la bête, on a droit à une immersion au Japon. Ce livre nous fait baigner dans la culture japonaise et nous confronte à celle-ci. Seule une personne ayant vécu une telle situation peut décrire ces différences de cultures. Chris Bradford a fait un travail formidable à mes yeux à ce niveau-là ! Ayant moi-même vécu quelques mois en Chine (les cultures japonaises et chinoises présentent de nombreuses similitudes), j'ai été agréablement surprise de lire ces petites choses qu'on n'apprend pas dans les livres, comme le simple fait que, pour se présenter, les asiatiques ne montrent pas leur coeur comme nous, mais bien leur nez, ou encore que planter ses baguettes dans le riz est offensant, et bien d'autres détails encore (l'importance de ne pas perdre la face…) !
Pour en savoir plus, suivez le lien ;)
Lien : http://read-iql.over-blog.co..
Sauvé et recueilli par le célèbre samouraï Masamoto Takeshi, Jack va devoir s'immerger complètement dans la culture japonaise. Pour cela, il va d'abord commencer par apprendre le japonais car, comme lui enseigne le père Lucius : « Comprends le japonais et tu les comprendras eux ».
Le jeune homme se trouve confronté au fils de Masamoto-sama (« maître Masamoto »), Yamato. Celui-ci n'apprécie pas que sont père considère ce gaijin (« étranger ») comme son deuxième fils (il prend la place de Tenno, son aîné assassiné par Dokugan Ryu). Il va cependant lui apprendre malgré lui l'art du bokken (sabre de bois).
Après avoir prouvé sa bravoure lors de l'attaque de la demeure de Masamoto en sauvant Yamoto, Jack est remercié par le grand guerrier. Il va entrer à l'école des samouraïs avec Yamato et Akika, nièce de Masamoto. Il va y suivre des cours pour acquérir le bushido, la voie du guerrier. Cependant, rien ne sera facile pour lui car beaucoup le considèrent comme un gaijin, donc indigne d'être guerrier japonais…
Même si on est happé par les différents événements, on sent qu'il y a une histoire de fond. le lecteur (en tout cas moi) se demande qui a bien pu donner l'ordre à Dokugan Ryu (Oeil de dragon) de récupérer le routier (la carte) du père de Jack et pourquoi. La réponse n'est pas donnée dans ce premier volet… La suite s'annonce palpitante maintenant que Jack possède les connaissances de base !
Au-delà d'une simple histoire d'un pauvre orphelin qui reprend du poil de la bête, on a droit à une immersion au Japon. Ce livre nous fait baigner dans la culture japonaise et nous confronte à celle-ci. Seule une personne ayant vécu une telle situation peut décrire ces différences de cultures. Chris Bradford a fait un travail formidable à mes yeux à ce niveau-là ! Ayant moi-même vécu quelques mois en Chine (les cultures japonaises et chinoises présentent de nombreuses similitudes), j'ai été agréablement surprise de lire ces petites choses qu'on n'apprend pas dans les livres, comme le simple fait que, pour se présenter, les asiatiques ne montrent pas leur coeur comme nous, mais bien leur nez, ou encore que planter ses baguettes dans le riz est offensant, et bien d'autres détails encore (l'importance de ne pas perdre la face…) !
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