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Critique de Cranberries
Encore une fois, nos deux globe-trotteuses préférées s'embarquent pour une nouvelle destination. Cette fois-ci c'est à San Francisco qu'elles posent leurs valises pour quelques jours, afin d'assister au mariage d'une cousine.
Cependant, durant ce voyage au départ innocent, Juliette mettra tout en oeuvre pour dénicher des informations sur son père qu'elle ne connait pas.
Comme dans tous les tomes de Juliette, Rose-Line Brasset profite d'un voyage vers une destination inconnue pour nous la faire visiter, mais également pour parler de sujets compliqués voire difficiles avec les adolescents qui lisent ses romans.
Cette fois-ci, c'est l'absence d'un parent qui va être abordée par l'autrice. Tout en douceur et en réflexion, elle propose un livre qui peut être lu par tout le monde, mais qui aura une forme de résonance seulement chez certains individus. Comme pour les sujets tels que le harcèlement scolaire ou l'immigration, traités dans les tomes précédents.
De mon point de vue, c'est quelque chose d'extrêmement intéressant à proposer, surtout en littérature jeunesse.
Je ne vais pas vous le cacher, cette lecture m'a émue aux larmes. Les nombreuses questions de Juliette par rapport à son père, ses doutes et ses peurs... Tout cela m'a foutu des frissons.
Et puis il faut bien avouer que lorsqu'un livre ou un film traite des relations parents-enfants, cela remue toujours quelque chose au fond de moi, et la plupart du temps les larmes finissent par couler.
En conclusion, ce huitième tome est aujourd'hui mon préféré de la saga. de part le thème abordé et la région visitée, il n'en fallait vraiment pas plus pour que je tombe totalement sous son charme, malgré les larmes versées.
Car pour moi, les meilleurs livres sont ceux qui vous font ressentir mille émotions contradictoires à la fois. Et avec ce livre, c'est pari gagné.
Lien : http://www.cranberriesaddict..
Cependant, durant ce voyage au départ innocent, Juliette mettra tout en oeuvre pour dénicher des informations sur son père qu'elle ne connait pas.
Comme dans tous les tomes de Juliette, Rose-Line Brasset profite d'un voyage vers une destination inconnue pour nous la faire visiter, mais également pour parler de sujets compliqués voire difficiles avec les adolescents qui lisent ses romans.
Cette fois-ci, c'est l'absence d'un parent qui va être abordée par l'autrice. Tout en douceur et en réflexion, elle propose un livre qui peut être lu par tout le monde, mais qui aura une forme de résonance seulement chez certains individus. Comme pour les sujets tels que le harcèlement scolaire ou l'immigration, traités dans les tomes précédents.
De mon point de vue, c'est quelque chose d'extrêmement intéressant à proposer, surtout en littérature jeunesse.
Je ne vais pas vous le cacher, cette lecture m'a émue aux larmes. Les nombreuses questions de Juliette par rapport à son père, ses doutes et ses peurs... Tout cela m'a foutu des frissons.
Et puis il faut bien avouer que lorsqu'un livre ou un film traite des relations parents-enfants, cela remue toujours quelque chose au fond de moi, et la plupart du temps les larmes finissent par couler.
En conclusion, ce huitième tome est aujourd'hui mon préféré de la saga. de part le thème abordé et la région visitée, il n'en fallait vraiment pas plus pour que je tombe totalement sous son charme, malgré les larmes versées.
Car pour moi, les meilleurs livres sont ceux qui vous font ressentir mille émotions contradictoires à la fois. Et avec ce livre, c'est pari gagné.
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