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Critique de Melyanie
♥ J'ai choisi pour ma première lecture "Twisted Tale" - Un Joyeux non-anniversaire - car j'aime beaucoup le thème d'Alice aux pays des merveilles. J'ai été très satisfaite de ma lecture et je lui mets un 5 étoiles car je l'ai littéralement dévoré. En effet, c'est une lecture fluide et dynamique qui fait qu'on ne s'ennuie pas.
♥ Alors, êtes-vous prêt à vous immerger dans une histoire unique en son genre, loufoque, où l'on parle de bizarrerie en tout genre, où le non-sens paraît plus normal que la logique des choses vue par les gens en général?
♥ Je trouve que la partie du roman se déroulant à Londres est très intéressante car pour la première fois, nous découvrons Alice vivant dans le monde réel (ou pas), nous y rencontrons un nouveau personnage, Katz. La soeur d'Alice, Matilde, prend également une place prépondérante dans l'histoire. Son nom provient de la pièce de théâtre de Jason Pizzarello (2008) car dans le film d'animation, elle n'est pas nommée.
♥ Nous découvrons les problèmes que rencontre Alice dans cette société conservatrice Londonienne et en même temps, les problèmes qu'elle rencontre aux pays des merveilles. Durant l'histoire, elle va ainsi voyager entre ces deux mondes bien différents au départ mais qui au final ne sont pas si différents que cela!
♥ Contrairement aux autres twisted Tales, cette version ne modifie pas l'histoire d'Alice que nous connaissons car celle-ci se déroule bien après, il s'agit plus d'une réinterprétation de la suite de ses aventures.
♥ La couverture du roman est à l'image de l'histoire, c'est à dire bien plus sombre que celle d'origine. Cela m'a d'ailleurs fait penser au style de Tim Burton. En effet, on parle de décapitations mais cette fois-ci bien plus réel que nous laissait apercevoir la précédente version de l'animé de 1951. Cette fois-ci, la reine de coeur dont la fameuse phrase "qu'on lui coupe la tête" qui résonne d'ailleurs encore à nos oreilles, met réellement à exécution ses paroles.
♥ Ha la reine de coeur, parlons-en! C'est bien dommage qu'elle n'est pas un peu plus présente car on en parle, on en parle, mais elle n'interragit presque jamais avec les personnages de l'histoire.
🎩 Quoi qu'il en soit, j'ai bien aimé cette petite note avec un brin d'humour à l'intention des lecteurs en prémisse de l'histoire nous expliquant que le syndrome du chapelier fou a réellement existé au cours des 18 et 19ème siècle. En effet, les chapeliers qui venaient de découvrir l'ingrédient mystère du feutre des chapeaux flamands qui est le mercure, l'utilisaient en très grandes quantités. Et, les observations de l'époque ont montré que le degré de folie des chapeliers dépendait de la charge de mercure employée.
♥ Pour finir, est-ce un rêve ou une réalité? Si vous avez hésité avec le film d'animation ou le livre de Lewis Caroll, peut-être aurez-vous une idée plus concrète avec cette nouvelle version de Liz Braswell.
♥ La fin m'a laissé un arrière-goût amère de nostalgie...
Mély, 🐇
♥ Alors, êtes-vous prêt à vous immerger dans une histoire unique en son genre, loufoque, où l'on parle de bizarrerie en tout genre, où le non-sens paraît plus normal que la logique des choses vue par les gens en général?
♥ Je trouve que la partie du roman se déroulant à Londres est très intéressante car pour la première fois, nous découvrons Alice vivant dans le monde réel (ou pas), nous y rencontrons un nouveau personnage, Katz. La soeur d'Alice, Matilde, prend également une place prépondérante dans l'histoire. Son nom provient de la pièce de théâtre de Jason Pizzarello (2008) car dans le film d'animation, elle n'est pas nommée.
♥ Nous découvrons les problèmes que rencontre Alice dans cette société conservatrice Londonienne et en même temps, les problèmes qu'elle rencontre aux pays des merveilles. Durant l'histoire, elle va ainsi voyager entre ces deux mondes bien différents au départ mais qui au final ne sont pas si différents que cela!
♥ Contrairement aux autres twisted Tales, cette version ne modifie pas l'histoire d'Alice que nous connaissons car celle-ci se déroule bien après, il s'agit plus d'une réinterprétation de la suite de ses aventures.
♥ La couverture du roman est à l'image de l'histoire, c'est à dire bien plus sombre que celle d'origine. Cela m'a d'ailleurs fait penser au style de Tim Burton. En effet, on parle de décapitations mais cette fois-ci bien plus réel que nous laissait apercevoir la précédente version de l'animé de 1951. Cette fois-ci, la reine de coeur dont la fameuse phrase "qu'on lui coupe la tête" qui résonne d'ailleurs encore à nos oreilles, met réellement à exécution ses paroles.
♥ Ha la reine de coeur, parlons-en! C'est bien dommage qu'elle n'est pas un peu plus présente car on en parle, on en parle, mais elle n'interragit presque jamais avec les personnages de l'histoire.
🎩 Quoi qu'il en soit, j'ai bien aimé cette petite note avec un brin d'humour à l'intention des lecteurs en prémisse de l'histoire nous expliquant que le syndrome du chapelier fou a réellement existé au cours des 18 et 19ème siècle. En effet, les chapeliers qui venaient de découvrir l'ingrédient mystère du feutre des chapeaux flamands qui est le mercure, l'utilisaient en très grandes quantités. Et, les observations de l'époque ont montré que le degré de folie des chapeliers dépendait de la charge de mercure employée.
♥ Pour finir, est-ce un rêve ou une réalité? Si vous avez hésité avec le film d'animation ou le livre de Lewis Caroll, peut-être aurez-vous une idée plus concrète avec cette nouvelle version de Liz Braswell.
♥ La fin m'a laissé un arrière-goût amère de nostalgie...
Mély, 🐇
