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Critique de Jazzynewyork


A travers cette errance poétique, le fantôme de Suzuko est partout et nulle part à la fois, mais reste ancré dans le coeur de Vincent qui n'arrive pas à l'oublier au point de la laisser errer à ses côtés. 

Vincent Brault est canadien et pourtant sa plume m'a souvent fait pensé à Yoko Ogawa, car elle est imprégnée de cette ambiance particulière que l'on trouve dans les beaux romans japonais, où certains personnages hors normes voyagent entre le rêve et la réalité. 
Le fantôme de Suzuko fait partie de ces livres qui laissent de beaux souvenirs aux lecteurs qui sauront apprécier l'imaginaire de l'auteur pour nous parler de l'amour sans guimauve, mais aussi du deuil sans pathos, mais au contraire avec beaucoup de délicatesse et de poésie


Une très belle découverte et un énorme coup de coeur. 
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