AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de galyalain


J'avais lu "Freeman", et j'avais été interpellé par la puissance d'écriture de cet auteur. C'est donc sans inquiétude que j'ai abordé ce livre, et tout de suite, comme avec un vieil ami, je me suis retrouvé dans un monde où la violence, la poésie, des pensées, l'humour cohabitent et se complètent.
Je ne vais pas vous dire que l'action se passe à New York et que le fantôme de son coéquipier taraude Donnelli pour que justice soit faite...
* Un passage qui m'a bien fait rire: Donnelli, qui a l'habitude de parler avec Pfiff (le fantôme de son coéquipier) se trouve souvent confronté à des quiproquos (Je 'aime pas mettre un "s", mais il paraît qu'il le faut...): comme il insulte son coéquipier mort, un chauffeur de taxi prend la mouche, se sentant visé. Donnelli lui explique qu'il est touché par le syndrome de la Tourette, et peut ainsi continuer de vomir des insanités durant tout le trajet....
* J'ai bien aimé le fait que sous le numéro du chapitre l'auteur note la fin de la dernière phrase du chapitre...

Une lecture distrayante, mais pas que.
Commenter  J’apprécie          82



Ont apprécié cette critique (8)voir plus




{* *}