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Critique de florencem
L'urban fantasy est décidément mon genre de prédilection #lecturedoudou ! Et je me suis régalée une nouvelle fois avec ce huitième tome de Mercy Thompson. Je pense même que je vais enchaîner avec le neuvième vu que j'ai toute la saga sous la main. J'avoue que même si certaines choses sont redondantes, l'auteur arrive tout de même à maintenir l'intérêt que j'ai pour l'univers et les personnages, et je trouve cela plutôt chouette.
Mercy se retrouve face à deux problèmes dans La faille de la Nuit (titre que je n'ai pas compris au passage...). le retour de Christy l'ex-femme d'Adam et la mère de Julie et une série de meurtres violents. Autant le deuxième problème, on se dit rapidement que notre héroïne va faire face les doigts "presque" dans le nez, autant l'ex égocentrique... On sent rapidement que cela va être coton. J'avoue que comme Mercy, s'il était arrivé une bricole à Christy, je n'aurais versé aucune larme, mais heureusement pour la bimbo je ne suis pas l'héroïne de la saga, et la coyote a bien plus de self-control et de conscience pour que les choses se passent plus ou moins bien. Mais quand même, on se dit qu'au final, les problèmes plus ou moins banals de tous les jours sont bien plus une plaie que les monstres surnaturels (au moins avec eux, on sait à quoi s'en tenir !).
Difficile dans un premier temps donc de voir Christy s'imposer et jouer à la victime. Mercy a encore une place plutôt instable au sein de la meute et la venue de l'ex-femme d'Adam que beaucoup apprécient encore n'est pas pour jouer en la faveur de la mécanicienne. Mais même si j'avais envie de mettre des baffes à Christy... je trouve que Mercy s'en sort vraiment bien. Elle pense à Julie, doit jongler entre l'autorité qu'elle doit dégager en tant que compagne de l'Alpha, mais ne veut pas non plus créer trop de tensions. C'est un jeu d'équilibriste très intéressant à voir vis-à-vis de la dynamique de la meute. Bien sûr notre héroïne a des alliés et clairement, je pense que personne ne se faisait de souci concernant sa relation avec Adam... mais on la voit blessée, parfois presque chassée de chez elle, s'efforçant à arrondir les angles alors qu'elle serait dans son plein droit de hausser le ton. J'avais mal pour notre chère Mercy Thompson qui était un peu sans défense pour le coup face à cette humaine lambda.
Fort heureusement, d'autres soucis qui demandent de l'action pure et dure entrent très vite en jeu. Et je me dis que je me réjouis presque que des meurtres se produisent et que nos héros soient en danger... tout vaut mieux que la bimbo. Parce qu'on peut cogner sur les méchants sans que personne vous fasse des gros yeux. Et là pour le coup, Mercy est tout de même face à un psychopathe très dangereux et hors du commun. Mais j'adore voir la mythologie de l'univers s'étendre encore et encore. D'autant plus que Coyote fait son retour et cela permet d'en apprendre toujours un peu plus sur Mercy et ses origines.
Coyote n'est pas le seul d'ailleurs à refaire une apparition. Revoir, même brièvement des personnages secondaires me fait toujours très plaisir, et ici nous sommes servis. Je regrette toujours que Samuel ne soit plus trop dans les parages, mais comme son histoire avec Mercy et Ariana est réglée, je me contente du peu que l'auteur nous donne. Stefan est toujours mon chou, et j'espère qu'il aura droit à un retour sur le devant de la scène très bientôt. Nous croisons aussi de nouveaux protagonistes. Gary est... intéressant bien que j'aie encore du mal à le cerner. Lucia et Joel ont tout de suite su me toucher. Et Jenny et Andrea m'ont fait une sacrée impression. Je ne sais pas si tout ce petit monde reviendra, mais rencontrer des personnages secondaires qui nous marquent et qui sont attachants, c'est toujours un plaisir. Et moi, j'en redemande toujours.
Un tome huit qui est à la hauteur. Toujours aussi efficace, même si j'avoue que le coup du grand méchant qui finit par s'en prendre méchamment à Mercy... est très redondant, mais bon, ça fonctionne et on se laisse tellement porter par l'histoire qu'on finit par oublier que les intrigues ont toujours le même schéma. Dans tous les cas, les personnages sont toujours très bien travaillés et évoluent au fur et à mesure, et l'univers est toujours aussi palpitant. Et dans le fond, c'est tout ce que je demande.
Mercy se retrouve face à deux problèmes dans La faille de la Nuit (titre que je n'ai pas compris au passage...). le retour de Christy l'ex-femme d'Adam et la mère de Julie et une série de meurtres violents. Autant le deuxième problème, on se dit rapidement que notre héroïne va faire face les doigts "presque" dans le nez, autant l'ex égocentrique... On sent rapidement que cela va être coton. J'avoue que comme Mercy, s'il était arrivé une bricole à Christy, je n'aurais versé aucune larme, mais heureusement pour la bimbo je ne suis pas l'héroïne de la saga, et la coyote a bien plus de self-control et de conscience pour que les choses se passent plus ou moins bien. Mais quand même, on se dit qu'au final, les problèmes plus ou moins banals de tous les jours sont bien plus une plaie que les monstres surnaturels (au moins avec eux, on sait à quoi s'en tenir !).
Difficile dans un premier temps donc de voir Christy s'imposer et jouer à la victime. Mercy a encore une place plutôt instable au sein de la meute et la venue de l'ex-femme d'Adam que beaucoup apprécient encore n'est pas pour jouer en la faveur de la mécanicienne. Mais même si j'avais envie de mettre des baffes à Christy... je trouve que Mercy s'en sort vraiment bien. Elle pense à Julie, doit jongler entre l'autorité qu'elle doit dégager en tant que compagne de l'Alpha, mais ne veut pas non plus créer trop de tensions. C'est un jeu d'équilibriste très intéressant à voir vis-à-vis de la dynamique de la meute. Bien sûr notre héroïne a des alliés et clairement, je pense que personne ne se faisait de souci concernant sa relation avec Adam... mais on la voit blessée, parfois presque chassée de chez elle, s'efforçant à arrondir les angles alors qu'elle serait dans son plein droit de hausser le ton. J'avais mal pour notre chère Mercy Thompson qui était un peu sans défense pour le coup face à cette humaine lambda.
Fort heureusement, d'autres soucis qui demandent de l'action pure et dure entrent très vite en jeu. Et je me dis que je me réjouis presque que des meurtres se produisent et que nos héros soient en danger... tout vaut mieux que la bimbo. Parce qu'on peut cogner sur les méchants sans que personne vous fasse des gros yeux. Et là pour le coup, Mercy est tout de même face à un psychopathe très dangereux et hors du commun. Mais j'adore voir la mythologie de l'univers s'étendre encore et encore. D'autant plus que Coyote fait son retour et cela permet d'en apprendre toujours un peu plus sur Mercy et ses origines.
Coyote n'est pas le seul d'ailleurs à refaire une apparition. Revoir, même brièvement des personnages secondaires me fait toujours très plaisir, et ici nous sommes servis. Je regrette toujours que Samuel ne soit plus trop dans les parages, mais comme son histoire avec Mercy et Ariana est réglée, je me contente du peu que l'auteur nous donne. Stefan est toujours mon chou, et j'espère qu'il aura droit à un retour sur le devant de la scène très bientôt. Nous croisons aussi de nouveaux protagonistes. Gary est... intéressant bien que j'aie encore du mal à le cerner. Lucia et Joel ont tout de suite su me toucher. Et Jenny et Andrea m'ont fait une sacrée impression. Je ne sais pas si tout ce petit monde reviendra, mais rencontrer des personnages secondaires qui nous marquent et qui sont attachants, c'est toujours un plaisir. Et moi, j'en redemande toujours.
Un tome huit qui est à la hauteur. Toujours aussi efficace, même si j'avoue que le coup du grand méchant qui finit par s'en prendre méchamment à Mercy... est très redondant, mais bon, ça fonctionne et on se laisse tellement porter par l'histoire qu'on finit par oublier que les intrigues ont toujours le même schéma. Dans tous les cas, les personnages sont toujours très bien travaillés et évoluent au fur et à mesure, et l'univers est toujours aussi palpitant. Et dans le fond, c'est tout ce que je demande.
