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Critique de MisssLaure
Avec ce récit d'initiation et d'évolution mystico-spirituelle, on fait la connaissance d'un autre Gérald Bronner. On délaisse le sociologue connu pour découvrir un jeune homme avide de comprendre le monde, un homme en devenir vivant à Nancy, qui écrira une thèse sur les croyances collectives.
Très jeune, il s'intéresse à la magie, l'occultisme, la fin du monde, à l'apocalypse, il expérimente les sorties de corps (avec peu de succès) et crée même un groupe à tendance ésotérisme, le C.E.R.F. Il s'intéresse à un autre monde, notamment avec Christian, Nahil (dont la mère tire les cartes), avidité et beaucoup d'implication. C'est la première partie, "Envoûtement"'. Dans un second temps ("Désenvoûtement"), il expliquera son cheminement vers un retour à plus de rationalité, notamment par le biais de la sociologie et d'autres rencontres.
Gérald Bronner se raconte comme s'il mettait en scène un personnage touchant et réaliste, issu d'un milieu populaire, mais qui n'entend pas s'en plaindre. Il aurait pu devenir un "mauvais garçon" ou persister dans la voie mystique, mais l'écriture et les croyances l'ont mené sur un autre chemin, ce qu'il développe sans s'en enorgueillir, avec sincérité et un certain attendrissement pour les égarements de jeunesse.
Ce livre se lit avec une grande facilité, grâce à une plume agréable et une écriture fluide, mais également en raison de cet intérêt de lecteur qui découvre un autre aspect, et un aspect surprenant de cet intellectuel que l'on n'attendait pas du côté de l'ésotérisme.
Très jeune, il s'intéresse à la magie, l'occultisme, la fin du monde, à l'apocalypse, il expérimente les sorties de corps (avec peu de succès) et crée même un groupe à tendance ésotérisme, le C.E.R.F. Il s'intéresse à un autre monde, notamment avec Christian, Nahil (dont la mère tire les cartes), avidité et beaucoup d'implication. C'est la première partie, "Envoûtement"'. Dans un second temps ("Désenvoûtement"), il expliquera son cheminement vers un retour à plus de rationalité, notamment par le biais de la sociologie et d'autres rencontres.
Gérald Bronner se raconte comme s'il mettait en scène un personnage touchant et réaliste, issu d'un milieu populaire, mais qui n'entend pas s'en plaindre. Il aurait pu devenir un "mauvais garçon" ou persister dans la voie mystique, mais l'écriture et les croyances l'ont mené sur un autre chemin, ce qu'il développe sans s'en enorgueillir, avec sincérité et un certain attendrissement pour les égarements de jeunesse.
Ce livre se lit avec une grande facilité, grâce à une plume agréable et une écriture fluide, mais également en raison de cet intérêt de lecteur qui découvre un autre aspect, et un aspect surprenant de cet intellectuel que l'on n'attendait pas du côté de l'ésotérisme.
