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Critique de Davalian
Évoquer la création des dieux grecs en bande dessinée est un exercice périlleux. Lorsqu'un album de la sagesse des mythes se lance dans l'aventure, au vu de certains albums controversés et des prestations aléatoires de Luc Ferry, l'exercice devient franchement casse gueule.
Les dessins, couleurs et histoires sont ici l'oeuvre d'une équipe qui n'a pas travaillé sur l'ensemble de l'album. le travail a été partagé et cela se voit… dès les premières planches. Celles-ci sont marquées par des dessins étranges, torturés, mais d'une beauté presque qu'inquiétante. En revanche ce qui suit, relève presque d'un mauvais cartoon.
Les dessins posent question. Bon certes, il est déroutant de découvrir un Zeus jeune, le voir découvrir l'amour dans les bras de Méthis… le seul souci c'est qu'il s'agit ici du seul point positif de l'album. Fredrico Santagati semble visiblement très porté sur le dessin suggestif (notamment sur les parties mammaires). Sauf qu'il n'assume pas vraiment ce choix, sauf lors d'une séquence ou il nous livre une poitrine très détaillée. En dehors de cela, le dessin n'est pas très précis. Nous avons mal du mal à distinguer les personnages, les séquences manquent de finesse.
Le scénario manque également de relief. Les premières planches prennent beaucoup de place, et ce manque se fait sentir sur la fin alors qu'il y a encore tant de choses à évoquer. Dommage… car le texte est plutôt lacunaire et laisse trop souvent le premier plan à des scènes qui semblent tout droit sorties d'une mauvaise caricature de mangas…
Les explications de Luc Ferry sont plus courtes que d'ordinaire et ne figurent pas parmi ses meilleures prestations. Son propos consiste à faire le distinguo entre mythologie et religion avant de parler du rôle du philosophe. le lien avec l'album est donc assez lointain. fortement des illustrations et des encarts viendront à la rescousse du lecteur.
Cet album est hélas, l'un des plus mauvais de la série.Malgré un démarrage plutôt réussi, les choses se gâtent dès la planche 10…
Les dessins, couleurs et histoires sont ici l'oeuvre d'une équipe qui n'a pas travaillé sur l'ensemble de l'album. le travail a été partagé et cela se voit… dès les premières planches. Celles-ci sont marquées par des dessins étranges, torturés, mais d'une beauté presque qu'inquiétante. En revanche ce qui suit, relève presque d'un mauvais cartoon.
Les dessins posent question. Bon certes, il est déroutant de découvrir un Zeus jeune, le voir découvrir l'amour dans les bras de Méthis… le seul souci c'est qu'il s'agit ici du seul point positif de l'album. Fredrico Santagati semble visiblement très porté sur le dessin suggestif (notamment sur les parties mammaires). Sauf qu'il n'assume pas vraiment ce choix, sauf lors d'une séquence ou il nous livre une poitrine très détaillée. En dehors de cela, le dessin n'est pas très précis. Nous avons mal du mal à distinguer les personnages, les séquences manquent de finesse.
Le scénario manque également de relief. Les premières planches prennent beaucoup de place, et ce manque se fait sentir sur la fin alors qu'il y a encore tant de choses à évoquer. Dommage… car le texte est plutôt lacunaire et laisse trop souvent le premier plan à des scènes qui semblent tout droit sorties d'une mauvaise caricature de mangas…
Les explications de Luc Ferry sont plus courtes que d'ordinaire et ne figurent pas parmi ses meilleures prestations. Son propos consiste à faire le distinguo entre mythologie et religion avant de parler du rôle du philosophe. le lien avec l'album est donc assez lointain. fortement des illustrations et des encarts viendront à la rescousse du lecteur.
Cet album est hélas, l'un des plus mauvais de la série.Malgré un démarrage plutôt réussi, les choses se gâtent dès la planche 10…
