On ne peut que féliciter l'auteur pour la somme colossale de travail que cet ouvrage ne fait que synthétiser - sur 600 pages quand même. Alors oui le style tient parfois davantage de l'inventaire que de la description ampoulée, mais on apprend un nombre incalculable de choses au fil de ces pages, qui constituent finalement une sorte de bible de la toponymie pour un béotien comme moi. L'approche ne se veut pas géographique (mis à part dans le dernier chapitre) mais bien thématique, avec une volonté impossible, de fait, d'exhaustivité.
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