Comme les précédentes aventures d'Aldoran, «La forteresse blanche» tient le lecteur en haleine. L'intrigue permet à l'auteur de faire étalage, comme souvent, de bon nombre d'idées et de théories passionnantes: la gomme alien qui fait rebondir en est une. Au début, on en voit les bons côtés (ou du moins, ceux qui ne sont pas trop négatifs), et petit à petit, on découvre tout ce que cette gomme a de néfaste.
Brussolo fait souvent cela: il présente quelque chose qui semble miraculeux à son lecteur, puis lui montre comme ça peut être pervers. Après l'idée de la gomme, celle des costumes intelligents, des mannequins travailleurs, etc, sont exposées de manière réaliste.
Ce genre de chose met en évidence l'inconséquence de l'homme.
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