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Critique de Streala
Encore un “récit de voyage” de B Bryson,auteur prolifique et plein d humour
Tous sesrécits se lisent facilement et sont très divertissants
Pas son meilleur mais on apprend pas mal de choses sur ce pays meconnu (qui peut nommer le premier ministre australien? Qui?.;;)
Mandaté par le journal qui l emploie ,Bill sillonne l Australie avec un petit budget ,le « road trip « semble se derouler en plusieurs séjours.
De longs trajets en voiture lui font découvrir des recoins perdus ,il se balade beaucoup à pied également mais point de trek ,notre homme est un marcheur urbain exclusivement
J ai été touchée par le chapitre concernant le triste sort des Aborigènes ,pendant longtemps les enfants dès lâge le plus tendre ont été arrachés à leurs parents pour être éduqués dans d austères pensionnats « civilisés »
Ces très jeunes enfants ,déprivés d affection et de tout lien familial ne se sont jamais adaptés au monde des blancs et retournés ,adultes ,dans leur communauté s y sentaient totalement étranger également
D ou alcoolisme ,troubles du comportement,délinquance ,dépression et autre troubles psychiatriques
Le sort des Aborigènes est assez similaire au traitement réservé aux « indiens » natifs aux usa cfr les magnifiques romans de Louise Edrich (Larose)
Ceci dit ,l auteur passe très rapidement sur Sydney ,Ayers rock e,la barrière de corail et semble très souvent très occupé » de manière obsessionnelle par la recherche d un bon resto pour le repas du soir et surtout l l'apéritif!!
Cet opus mériterait d être réécrit,réactualisé
Le sujet est aussi vaste que le pays mais c est une bonne intro ,un peu datée.
Tous sesrécits se lisent facilement et sont très divertissants
Pas son meilleur mais on apprend pas mal de choses sur ce pays meconnu (qui peut nommer le premier ministre australien? Qui?.;;)
Mandaté par le journal qui l emploie ,Bill sillonne l Australie avec un petit budget ,le « road trip « semble se derouler en plusieurs séjours.
De longs trajets en voiture lui font découvrir des recoins perdus ,il se balade beaucoup à pied également mais point de trek ,notre homme est un marcheur urbain exclusivement
J ai été touchée par le chapitre concernant le triste sort des Aborigènes ,pendant longtemps les enfants dès lâge le plus tendre ont été arrachés à leurs parents pour être éduqués dans d austères pensionnats « civilisés »
Ces très jeunes enfants ,déprivés d affection et de tout lien familial ne se sont jamais adaptés au monde des blancs et retournés ,adultes ,dans leur communauté s y sentaient totalement étranger également
D ou alcoolisme ,troubles du comportement,délinquance ,dépression et autre troubles psychiatriques
Le sort des Aborigènes est assez similaire au traitement réservé aux « indiens » natifs aux usa cfr les magnifiques romans de Louise Edrich (Larose)
Ceci dit ,l auteur passe très rapidement sur Sydney ,Ayers rock e,la barrière de corail et semble très souvent très occupé » de manière obsessionnelle par la recherche d un bon resto pour le repas du soir et surtout l l'apéritif!!
Cet opus mériterait d être réécrit,réactualisé
Le sujet est aussi vaste que le pays mais c est une bonne intro ,un peu datée.
