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Critique de Lunalithe
On est immédiatement frappé par la précision du trait, dans cette BD où la solitude est prégnante, et les perspectives vertigineuses. On suit Lupo, un humain qui erre à la surface d'un vaisseau monumental, et qui cherche la porte qui lui permettra de retrouver ses amis (du moins le suppose-t-on). Outre la solitude, écrasante, il doit également défendre sa vie face aux différents organismes vivants (et autres robots) plus ou moins agressifs qui peuplent le vaisseau.
L'histoire se dévoile au fur et à mesure, lentement. On apprend que Lupo erre ainsi depuis des décennies, on sent que quelque chose nous échappe - mais quoi ? le dessin est sublime, et les planches, grandioses, donnent un rythme contemplatif à l'histoire. Ce procédé contribue à nous immerger dans le récit, et à nous attacher à Lupo comme à un compagnon de route. Jusqu'au final, déchirant... Mais qui, finalement, ne nous surprend pas - ce qui n'empêche pas d'en avoir le coeur brisé.
Une belle histoire pour un très bel objet, un one-shot très bien mené, signé par un tout jeune auteur dont c'est le premier ouvrage : Amaury Bundgen. Un auteur à suivre de très près, donc !
L'histoire se dévoile au fur et à mesure, lentement. On apprend que Lupo erre ainsi depuis des décennies, on sent que quelque chose nous échappe - mais quoi ? le dessin est sublime, et les planches, grandioses, donnent un rythme contemplatif à l'histoire. Ce procédé contribue à nous immerger dans le récit, et à nous attacher à Lupo comme à un compagnon de route. Jusqu'au final, déchirant... Mais qui, finalement, ne nous surprend pas - ce qui n'empêche pas d'en avoir le coeur brisé.
Une belle histoire pour un très bel objet, un one-shot très bien mené, signé par un tout jeune auteur dont c'est le premier ouvrage : Amaury Bundgen. Un auteur à suivre de très près, donc !
