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Critique de Niele
Un titre intrigant, un résumé prometteur, un lieu magique, un programme attrayant nous étaient proposés !
L'intrigue commence et reste en pause pendant les trois quarts du roman, on attend, on attend... et puis dans les soixante dernières pages, l'auteur se souvient qu'il y a quand même une histoire à finir. Entre temps, l'on nous propose de faire connaissance avec la mère du personnage principal (Liv), peintre recluse et impénétrable, cela prend quand même une bonne partie du temps. On y apprend également la mort du père de Liv, personnage absent activement du roman et qui ne joue aucun rôle même psychologique vis à vis des autres personnages. Au niveau de la narration, on se sent seul, perdu dans le vide. Des personnages somme toute assez accessoires sont mis en avant et d'autres plus importants au niveau de l'intrigue sont passés aux oubliettes...
L'ambiance aurait pu être mystique, irréelle, mais à force de trop insister sur ce point, elle devient lourde presque irrespirable. On perd pied un peu aussi, on s'embrouille entre le réel et l'irréel. On ne sait plus si les personnages sont des fantômes ou des détraqués mis les uns à côté des autres.
De véritables longueurs s'installent dans l'histoire, dans le texte : les phrases sont interminables, les paragraphes indigestes, pas de pauses où respirer librement ! Je me suis noyée aussi !
J'attendais avec impatience une Norvège des légendes, des trolls... avec de belles énigmes. J'avoue que l'histoire principale est assez bien traitée mais délayée inutilement dans un flot de personnages et de détails superflus qui nous embourbe et nous prend dans ses filets telle la Huldra ! Mais j'avoue que l'auteur m'a vraiment réjoui dans le dernier chapitre, j'attendais cela depuis le début ! le rythme, le suspens sont enfin au rendez vous... ouf !
L'intrigue commence et reste en pause pendant les trois quarts du roman, on attend, on attend... et puis dans les soixante dernières pages, l'auteur se souvient qu'il y a quand même une histoire à finir. Entre temps, l'on nous propose de faire connaissance avec la mère du personnage principal (Liv), peintre recluse et impénétrable, cela prend quand même une bonne partie du temps. On y apprend également la mort du père de Liv, personnage absent activement du roman et qui ne joue aucun rôle même psychologique vis à vis des autres personnages. Au niveau de la narration, on se sent seul, perdu dans le vide. Des personnages somme toute assez accessoires sont mis en avant et d'autres plus importants au niveau de l'intrigue sont passés aux oubliettes...
L'ambiance aurait pu être mystique, irréelle, mais à force de trop insister sur ce point, elle devient lourde presque irrespirable. On perd pied un peu aussi, on s'embrouille entre le réel et l'irréel. On ne sait plus si les personnages sont des fantômes ou des détraqués mis les uns à côté des autres.
De véritables longueurs s'installent dans l'histoire, dans le texte : les phrases sont interminables, les paragraphes indigestes, pas de pauses où respirer librement ! Je me suis noyée aussi !
J'attendais avec impatience une Norvège des légendes, des trolls... avec de belles énigmes. J'avoue que l'histoire principale est assez bien traitée mais délayée inutilement dans un flot de personnages et de détails superflus qui nous embourbe et nous prend dans ses filets telle la Huldra ! Mais j'avoue que l'auteur m'a vraiment réjoui dans le dernier chapitre, j'attendais cela depuis le début ! le rythme, le suspens sont enfin au rendez vous... ouf !
