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Critique de Laurielit31
C'est le second livre de Michel Bussi que je lis.
Je ne pensais pas m'y attaquer si vite (quand il s'agit de romans policiers, j'attends en général la sortie en poche) mais la superbe couverture et le lieu dans lequel se déroule l'histoire ont eu raison de moi.
.
On se retrouve, dans ce roman, propulsé en plein milieu du Pacifique, au coeur des Marquises.
Heureuses gagnantes d'un concours, cinq lectrices ont été invitées à participer à un atelier d'écriture animé par un auteur à succès dans ce décor paradisiaque.
Le rêve n'est-ce pas? Sauf lorsque ledit auteur disparaît mystérieusement et que les morts commencent à s'enchaîner.
Ce huit clos est clairement un hommage au très célèbre « Dix Petits Nègres » de Agatha Christie.
Michel Bussi s'amuse avec le lecteur, nous rendant paranoïaque. La polyphonie narrative accentue cette sensation : au fil des chapitres, on en vient à soupçonner tout le monde, sans pour autant se douter du dénouement.
Le gros point fort de l'auteur reste pour moi la façon qu'il a de nous immerger complètement dans son histoire grâce à des descriptions qui nous font clairement voyager dans l'archipel cher aux coeurs de Brel et de Gauguin.
Sans être extraordinaire, ce roman fut une bonne lecture, facilitée par une plume fluide et un cadre de rêve!
Je ne pensais pas m'y attaquer si vite (quand il s'agit de romans policiers, j'attends en général la sortie en poche) mais la superbe couverture et le lieu dans lequel se déroule l'histoire ont eu raison de moi.
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On se retrouve, dans ce roman, propulsé en plein milieu du Pacifique, au coeur des Marquises.
Heureuses gagnantes d'un concours, cinq lectrices ont été invitées à participer à un atelier d'écriture animé par un auteur à succès dans ce décor paradisiaque.
Le rêve n'est-ce pas? Sauf lorsque ledit auteur disparaît mystérieusement et que les morts commencent à s'enchaîner.
Ce huit clos est clairement un hommage au très célèbre « Dix Petits Nègres » de Agatha Christie.
Michel Bussi s'amuse avec le lecteur, nous rendant paranoïaque. La polyphonie narrative accentue cette sensation : au fil des chapitres, on en vient à soupçonner tout le monde, sans pour autant se douter du dénouement.
Le gros point fort de l'auteur reste pour moi la façon qu'il a de nous immerger complètement dans son histoire grâce à des descriptions qui nous font clairement voyager dans l'archipel cher aux coeurs de Brel et de Gauguin.
Sans être extraordinaire, ce roman fut une bonne lecture, facilitée par une plume fluide et un cadre de rêve!
