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Critique de migdal
De passage à Etretat, j'ai acquis « code Lupin » (Editions de la Falaise ISBN 9782848113197), qui m'a fait sursauter en lisant page 15 « Au temps pour moi ! Excusez moi mon enfant. J'ai tellement de choses à penser. »
Mais, vérification faite, il semble admis d'écrire "autant" ou "au temps" et ... je dois confesser que les 200 pages suivantes sont passionnantes pour les amateurs d'Arséne Lupin, les fidèles de Maurice Leblanc, les amoureux de la Normandie et les fidèles de Michel Bussi alias le professeur Roland Bergton.
Partant de Saint Valéry en Caux, le professeur et la gracieuse Paloma, étudiante en histoire, parcourent plus d'un siècle d'histoire du trafic d'opium en empruntant les chemins cauchois le plus détournés et nous offrent une magnifique relecture de l'oeuvre de Maurice Leblanc.
A contrario, un lecteur ne connaissant ni la Normandie, ni Arsène Lupin et son géniteur, ne disposera pas des codes indispensables à la compréhension de ces pages et c'est bien évidemment ce qui explique que ce titre, publié par un éditeur normand, ne soit pas destiné à un large public contrairement aux autres chefs d'oeuvres de Michel Bussi.
La conclusion, comme pour chaque titre de l'auteur, s'inscrit dans un contexte de recherche de parenté, thème central d'un écrivain orphelin précoce en quête éternelle de son père, et est particulièrement émouvante.
Mais, vérification faite, il semble admis d'écrire "autant" ou "au temps" et ... je dois confesser que les 200 pages suivantes sont passionnantes pour les amateurs d'Arséne Lupin, les fidèles de Maurice Leblanc, les amoureux de la Normandie et les fidèles de Michel Bussi alias le professeur Roland Bergton.
Partant de Saint Valéry en Caux, le professeur et la gracieuse Paloma, étudiante en histoire, parcourent plus d'un siècle d'histoire du trafic d'opium en empruntant les chemins cauchois le plus détournés et nous offrent une magnifique relecture de l'oeuvre de Maurice Leblanc.
A contrario, un lecteur ne connaissant ni la Normandie, ni Arsène Lupin et son géniteur, ne disposera pas des codes indispensables à la compréhension de ces pages et c'est bien évidemment ce qui explique que ce titre, publié par un éditeur normand, ne soit pas destiné à un large public contrairement aux autres chefs d'oeuvres de Michel Bussi.
La conclusion, comme pour chaque titre de l'auteur, s'inscrit dans un contexte de recherche de parenté, thème central d'un écrivain orphelin précoce en quête éternelle de son père, et est particulièrement émouvante.
