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Critique de Foufoubella
Quelle déception... Tout ça pour ça...
Voici ce qui m'est venu en tête à peine ma lecture terminée (bon, en réalité, avant, mais j'ai tellement eu envie d'y croire jusqu'au bout du bout du bout).
Déception car j'avais tellement lu que le twist final était génial.
Et, pour ma part, je l'ai deviné assez rapidement. Pas parce que je suis un plus fin limier que les autres lecteurs (ou plus tordue, c'est selon) mais parce qu'à la lecture de la grande, très grande, majorité des avis, c'était tellement inimaginable que j'ai sans doute, sans le vouloir, mis la main très vite dessus. Tout en espérant que ce ne soit pas ça car, de un, j'aime être totalement prise au dépourvu dans mes lectures de genre (vous savez, quand on se dit, « et bé, suis sur le c.., là »), de deux, je trouvais mon hypothèse tellement décevante (et oui), que j'ai espéré, que dis-je, prié, pour avoir tort. Mais non... Cette fin ne m'a pas plu car maladroite et incohérente selon moi, mais je n'en dirai pas plus au cas où de futurs lecteurs liraient ces quelques lignes.
Déception aussi quant à la narration. J'ai trouvé le procédé sympathique au départ, un point de vue « classique » allié à celui de cette vieille dame qui apostrophe le lecteur mais, très vite, je me suis lassée, trouvant le tout lourd et confus.
Déception quant aux personnages, hormis peut-être l'adjoint, le seul que j'ai trouvé crédible dans toute cette histoire. Et le chien oui, le chien, sans conteste le plus attachant de tous.
Déception quant à l'histoire et aux ficelles qui tiennent le récit.
Déception...
Mais, il y du bon quand même dans ce roman. J'ai aimé la description du village de Giverny, dont je garde un très beau souvenir lors de ma visite il y a désormais plus de 10 ans. J'ai trouvé que Michel Bussi, sur ce coup-là, maîtrisait son sujet , et même si ça pouvait avoir un côté rébarbatif pour certains, c'est la partie du roman pour laquelle j'ai eu le plus d'intérêt.
En bref, une lecture dont j'attendais beaucoup, vis à vis particulièrement de la « révélation » finale.
Mais j'ai mis plus de cinq jours à le terminer, ce qui est très rare chez moi pour ce type de littérature.
J'ai aujourd'hui lu les deux livres de cet auteur que j'avais dans ma PAL (le précédent, un recueil de quatre nouvelles qui m'avait quant à lui nettement plus enthousiasmée, peut-être que ce format convient mieux à l'auteur?) et d'autres sont en pense-bête. Il paraît que Nymphéas noirs est son meilleur roman. Est-ce que ça vaudrait la peine d'en lire d'autres, alors ? Amis lecteurs, je suis preneuse de vos suggestions.
Challenge multi-défis 2019
Challenge Jeu de l'oie littéraire (2ème partie)
Challenge Trivial Readind III
Challenge Monopoly
Voici ce qui m'est venu en tête à peine ma lecture terminée (bon, en réalité, avant, mais j'ai tellement eu envie d'y croire jusqu'au bout du bout du bout).
Déception car j'avais tellement lu que le twist final était génial.
Et, pour ma part, je l'ai deviné assez rapidement. Pas parce que je suis un plus fin limier que les autres lecteurs (ou plus tordue, c'est selon) mais parce qu'à la lecture de la grande, très grande, majorité des avis, c'était tellement inimaginable que j'ai sans doute, sans le vouloir, mis la main très vite dessus. Tout en espérant que ce ne soit pas ça car, de un, j'aime être totalement prise au dépourvu dans mes lectures de genre (vous savez, quand on se dit, « et bé, suis sur le c.., là »), de deux, je trouvais mon hypothèse tellement décevante (et oui), que j'ai espéré, que dis-je, prié, pour avoir tort. Mais non... Cette fin ne m'a pas plu car maladroite et incohérente selon moi, mais je n'en dirai pas plus au cas où de futurs lecteurs liraient ces quelques lignes.
Déception aussi quant à la narration. J'ai trouvé le procédé sympathique au départ, un point de vue « classique » allié à celui de cette vieille dame qui apostrophe le lecteur mais, très vite, je me suis lassée, trouvant le tout lourd et confus.
Déception quant aux personnages, hormis peut-être l'adjoint, le seul que j'ai trouvé crédible dans toute cette histoire. Et le chien oui, le chien, sans conteste le plus attachant de tous.
Déception quant à l'histoire et aux ficelles qui tiennent le récit.
Déception...
Mais, il y du bon quand même dans ce roman. J'ai aimé la description du village de Giverny, dont je garde un très beau souvenir lors de ma visite il y a désormais plus de 10 ans. J'ai trouvé que Michel Bussi, sur ce coup-là, maîtrisait son sujet , et même si ça pouvait avoir un côté rébarbatif pour certains, c'est la partie du roman pour laquelle j'ai eu le plus d'intérêt.
En bref, une lecture dont j'attendais beaucoup, vis à vis particulièrement de la « révélation » finale.
Mais j'ai mis plus de cinq jours à le terminer, ce qui est très rare chez moi pour ce type de littérature.
J'ai aujourd'hui lu les deux livres de cet auteur que j'avais dans ma PAL (le précédent, un recueil de quatre nouvelles qui m'avait quant à lui nettement plus enthousiasmée, peut-être que ce format convient mieux à l'auteur?) et d'autres sont en pense-bête. Il paraît que Nymphéas noirs est son meilleur roman. Est-ce que ça vaudrait la peine d'en lire d'autres, alors ? Amis lecteurs, je suis preneuse de vos suggestions.
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