Avoir une mémoire d'huître (c'est ainsi que je baptise la mienne, sans savoir si ce mollusque n'en a pas une meilleure que moi d'ailleurs) présente, notamment, comme inconvénient de ne plus se souvenir de toutes ses lectures.
Et comme je n'ai pas le temps de relire, la production littéraire dépassant largement mes capacités en temps et en quantité, j'ai trouvé, avec la parution de ce magnifique album, signé Duval et Pinheiro, l'occasion de redécouvrir
Un avion sans elle, le roman de
Michel Bussi, lu au moment de sa sortie, il y a près de dix ans déjà.
C'est donc vierge (Oui, ne soyez pas effarouchés, je viens de vous dire que je ne me souviens de rien) que j'ai lu et apprécié cette adaptation, dont je ne saurais dire si elle est fidèle ou non.
Un avion qui se crashe dans le Jura.
Tous les passagers meurent dans l'accident.
Tous, sauf... un bébé.
Problème, comment l'identifier ?
C'est une fille.
Bon, ça, c'est pas trop difficile à savoir, mais quand deux familles la réclament, aussi convaincue l'une que l'autre, qu'il s'agit là de leur petite fille...
Le pays est en émoi.
Parallèlement à la justice, un détective privé, Crédule Grand-Duc (tu parles d'un nom...) enquête.
Vous voulez savoir qui est Lylie, la miraculée du Mont Terrible ?
Vous aimez la bande dessinée ?
Précipitez-vous chez votre fournisseur de lecture préféré, ça s'appelle
Un avion sans elle et ça vient de paraître.