>
Critique de Trollibi
Hier, j'ai eu beaucoup de difficultés à m'endormir. Dans ces cas-là, en général, plutôt que de me retourner encore et encore bêtement dans mon lit, je lis un peu et le sommeil vient naturellement. J'ai donc ouvert « Un avion sans elle » et, pour le coup, ce n'est plus l'insomnie qui m'a tenue éveillée.
Début des années 80. Un avion s'écrase dans le Jura. Seule rescapée : une petite fille de trois mois que deux familles se disputent. D'un côté, les de Carville, avec leur fortune et leurs relations ; de l'autre, les Vitral, modestes vendeurs de frites de Dieppe. D'un côté, elle s'appelle Lyse-Rose ; de l'autre, Emilie. Dix-huit plus tard, celle que les médias ont baptisée Lylie ou encore Libellule, ne connaît toujours pas la vérité…
Je le confesse : je partais avec un a priori énorme quand j'ai pris cette BD dans la pile prêtée par mon amie J. Ma seule et unique rencontre avec un roman de Michel Bussi ne m'avait pas particulièrement convaincue et avait été, osons le dire, une vraie déception. J'avais très vite deviné l'intrigue et m'étais profondément ennuyé… Mais ici, je le reconnais, l'intrigue d' « Un avion sans elle » est particulièrement bien construite, captivante et surprenante. Elle m'a tenue en haleine du début à la fin, il y a un réel suspense et, jusqu'au dénouement, je me suis demandée si mes conjectures étaient les bonnes. de plus, le dessin est particulièrement agréable, réaliste et coloré.
Une chose me titille tout de même… S'il est possible d'adapter un roman de 532 dans un BD de 176 pages, avec une intrigue qui tient la route, je me demande pourquoi Michel Bussi noie ses bonnes idées dans des romans trop longs… Peut-être devrais-je retenter un de ses livres pour voir…
Début des années 80. Un avion s'écrase dans le Jura. Seule rescapée : une petite fille de trois mois que deux familles se disputent. D'un côté, les de Carville, avec leur fortune et leurs relations ; de l'autre, les Vitral, modestes vendeurs de frites de Dieppe. D'un côté, elle s'appelle Lyse-Rose ; de l'autre, Emilie. Dix-huit plus tard, celle que les médias ont baptisée Lylie ou encore Libellule, ne connaît toujours pas la vérité…
Je le confesse : je partais avec un a priori énorme quand j'ai pris cette BD dans la pile prêtée par mon amie J. Ma seule et unique rencontre avec un roman de Michel Bussi ne m'avait pas particulièrement convaincue et avait été, osons le dire, une vraie déception. J'avais très vite deviné l'intrigue et m'étais profondément ennuyé… Mais ici, je le reconnais, l'intrigue d' « Un avion sans elle » est particulièrement bien construite, captivante et surprenante. Elle m'a tenue en haleine du début à la fin, il y a un réel suspense et, jusqu'au dénouement, je me suis demandée si mes conjectures étaient les bonnes. de plus, le dessin est particulièrement agréable, réaliste et coloré.
Une chose me titille tout de même… S'il est possible d'adapter un roman de 532 dans un BD de 176 pages, avec une intrigue qui tient la route, je me demande pourquoi Michel Bussi noie ses bonnes idées dans des romans trop longs… Peut-être devrais-je retenter un de ses livres pour voir…
